Le second chapitre de l’ouvrage, rapportait la rencontre entre deux personnages que tout opposait et pourtant.
Bertrand et Jeannine allaient voir leur vie bousculée à jamais, en rejoignant malgré eux, le Paradis d’Eros…
2. Jeannine & Bertrand
Bertrand était un beau jeune homme de 29 ans, plutôt sportif, ingénieur depuis quelques années, dans une entreprise spécialisée dans les technologie de l’information. C’est en classant de vieilles archives de son bureau, qu’il tomba sur l’ouvrage qui allait changer sa vie pendant un instant. Au milieu de dossiers poussiéreux, il tomba sur une version ancienne du “Paradis d’Eros” que quelqu’un avait probablement oublié là par inadvertance.
Comme il se faisait tard et que la plupart de ses collègues étaient partis, il en profita pour s’asseoir et le feuilleter un peu. C’est cette lecture qui le conduisit dans une étrange torpeur dont il se réveillerait plus tard, étourdi de nouvelles sensations et de plaisir. Au fur et à mesure qu’il lisait les lignes sous ses yeux, les passages se faisaient de plus en plus explicites et la nature érotique de l’ouvrage ne lui faisait plus de doutes. Les élucubrations de personnages énigmatiques s'abandonnant à des échanges amoureux et sexuels débridés, lui firent oublier qu’il se trouvait encore au travail.
Il sentit sa verge se dresser à travers son pantalon et tout en poursuivant sa lecture, la caressa à travers le tissus, si bien qu’elle devint dure comme une érection matinale. On était pourtant le soir… Sans y prendre garde, son sexe tumescent frôla la couverture du livre et comme il était arrivé à Alix avant lui, il se laissa emporter vers les saveurs sans limites du Paradis d’Eros, dont il ne ressortirait pas indemne.
Il se retrouva au beau milieu d’un eden de fraîcheur et de verdoyants paysages, au milieu de rires et de chansons douces. Il commença à déambuler, à la découverte de cet étrange endroit qui sans qu’il ne sache vraiment pourquoi, le fascinait. Des herbes hautes lui chatouillaient les jambes et des frissons parcouraient son corps. Il poursuivait sa marche, à la recherche des endroits d’où pouvait provenir la musique et les manifestation heureuses qu’il entendait. Il ne parvenait pas bien à distinguer la nature de ces sons mais il jugeait par leur tonalité enjouée, qu’il s’agissait d’une sorte de fête.
Il s’approcha d’une espèce de bosquet de forme large et arrondie, au milieu d’un cercle de haies bien plantées comme dans un parc de château, il trouva là une assemblée de jeunes personnes toutes en joie, dansant et sautant autour d’un autel entièrement fleuri. Quelle ne fut pas la surprise de Bertrand, lorsqu’il pris conscience qu’une femme d’une étonnante féminité se trouvait allongée complètement nue sur l’autel, les yeux bandés à l’aide d’un morceau d’étoffe coloré. C’est elle que le petit peuple agglutiné semblait vénérer d’une curieuse façon. Elle ne bougeait pas, restait là, le souffle lent et calme.
Bertrand observa la scène un moment, et remarqua que petit à petit, les individus s’approchaient de la femme offerte. Tour à tour mais subrepticement, chacun lui prodigua des caresses particulières. L’un au niveau des pieds, puis au niveau des jambes, d’autres au niveau des cuisses puis des anches. Les femmes présentes se concentrèrent davantage sur la nuque, sur les cheveux et sur le haut du corps. La respiration de la femme s'accélérait, soulevant son buste et des frissons semblaient parcourir sa peau. On lui carréssa les épaules, on lui passa des mains dans les cheveux, une femme l’embrassa même langoureusement. Elle semblait apprécier toutes les sensations, les unes après les autres, dans un total abandon aux délices corporels.
On lui pinça les mamelons qu’elle avait plutôt sombres, ils durcirent aussitôt et se dressèrent comme pour monter au ciel. Elle conservait pour son âge (48 ans), des seins très fermes et très sensibles au toucher. Elle adorait qu’on lui sollicite les tétons, qu’on les saisisse et les mordille d’une bouche experte. C’était l’une des parties de son corps qu’elle préférait et qu’il lui procurait énormément de plaisir, y compris lorsqu’elle se masturbait. Elle sentit son sexe s’ouvrir naturellement et s’humidifier très rapidement. Des doigts passaient autour de son nombril et lui donnait des picotements dans le bas ventre. Elle était électrisée de ces frottements partout, excitant chacune de ses zone érogènes.
Bertrand regardait la scène avec stupéfaction et sentit une forte érection monter entre ses jambes. Cette femme qui lui apparaissant offerte au plaisir, dévoilant sans aucune honte et presque sans s’en rendre compte, les parties les plus intimes de son anatomie, le rendait fou d’excitation. Elle semblait d’un âge mature et pourtant, il la trouvait totalement désirable dans cette curieuse posture. Ce qu’il l’intriguait, c’est qu’aucun des individus ne semblait oser approcher l’entre jambe de celle-ci, comme s’il s’agissait d’un endroit défendu. Il percevait des souffles expressifs de cette dernière, comme de petit gémissements. Il fut pris d’une irrésistible envie de se toucher la verge et ne put s’empêcher de sortir son sexe pour se masturber avec soulagement, devant cette scène quasi pornographique.
Prise dans le tourbillon du plaisir, la femme qui s’appelait Jeannine, libéra ses mains et joignit ses propres mouvements à sa quête de jouissance, elle pris ses seins et les malmena jusqu’aux tétons entre ses doigts fins connaisseurs. Elle se caressa les cuisses, passa son doigts dans sa bouche pour l'humidifier avant de le porter jusqu’à son entrecuisse qui n’avait clairement pas besoin d’être lubrifié davantage tellement il était déjà luisant de mouille. Elle passa un doigt entre ses grandes lèvres, écarta les petites et rejoint le clitoris sans difficultés. Elle avait une jolie vulve plutôt charnue mais harmonieuse, surmontée d’une légère toison blond châtain comme ses cheveux. La paume de sa main contre cette pilosité sur son mont de vénus, deux doigts effleurèrent son bouton d’amour, déjà gonflé d’envie.
Elle commençait véritablement à gémir tout en se caressant, quand Bertrand sentit une main le saisir alors qu’il se branlait avec délectation. On l'entraîna malgré lui dans la pièce qui se jouait devant lui et dont il n’était resté que spectateur. On le plaça devant Jeannine qui ne prêta aucune attention à lui et continua de plus belle à se faire du bien. Un peu perdu mais très excité, Bertrand patienta un moment avant de s’approcher d’elle. Avec une intuition profonde, il approcha sa bouche du sexe devant lui et sitôt que sa langue s’étira vers l’organe du plaisir, elle retira sa main et le laissa s’occuper d’elle avec délice.
Il jeta de petits coups de langue sur le bourgeon tumescent, elle gémit de plus belle. Il appuya sa bouche contre elle, gobant le petit morceau de chair, appuyant par moment, essayant de maintenir un rythme suffisant. Elle semblait proche de l’explosion, il poursuivit avec activisme, le visage inondé par les sécrétion vaginales mais heureux de son effet sur cette femme. Elle jouit sur sa bouche d’un puissant orgasme, prise de spasme elle éructa, elle colla son visage contre elle, il sentit les contraction qui la propulsaient au 7e ciel.
Lorsqu’il se retira, elle n’avait plus de bandeau mais fermait les yeux, et le calme semblait revenu après la tempête qu’elle venait de subir. Elle rouvrit les yeux et le regarda intensément. Il semblait gêné mais l’air de satisfaction arboré par cette femme, le rassura aussitôt. Il était là, toujours bien bandé face à elle. Cette dernière le tira vers elle et l’intima de poursuivre :
“Viens s’il te plait, viens en moi !”
Il approcha son membre qu’il tenait fermement entre ses mains, à l’entrée du vagin béant de Jeannine qui n’attendait que lui. Lorsqu’il la pénétra doucement, il sentit le muscle se refermer sur lui et s’étonna qu’elle eut l’air si étroite. Il commença à aller et venir en elle, ce qu’il lui tira de nouveaux gémissements. Elle semblait prête à jouir de nouveau, comme curieusement insatiable. Elle le tirait en elle, pour qu’il la prenne toujours plus profondément, ses cuisses claquaient contre les fesses de sa partenaire. Il sentait le plaisir monter en lui, dans ce puit chaud qui l’acceuillait si naturellement. Il n’en pouvait plus, il voulait jouir en elle. Il tenta de se retenir pour la satisfaire encore un moment, mais le plaisir était trop grand et il se sentit venir, d’un jet puissant.
En même temps qu’il se déversait en elle, dans un cri rauque de contentement, elle laissait un second orgasme la submerger. Lorsqu’il se retira, un peu de sperme coula de son intérieur à elle. Jeannine lui souriait toujours, tous les êtres qui l’entouraient était partis, elle s’endormit alors, Bertrand continuant à l’observer. Et dans ce qu’elle crut être un rêve, elle jouissait une troisième fois comme à n’en plus pouvoir, prise et reprise, par ce beau jeune homme qui l’entrepenait avec une incroyable fougue. Plus tard, elle lui raconterait peut être comment elle s’était retrouvé ainsi, prête à s'abandonner à tous les supplices, au beau milieu du Paradis d’Eros.
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