Accéder au contenu principal

Le Journal d'Isaure (Jour 1)

Isaure a 51 ans aujourd’hui, depuis 2 ans, elle tient un journal très intime, dans lequel cette jolie femme très bien conservée pour son âge, raconte le récit de ses plaisirs…

Aux gré des aventures palpitantes que son désir lui inspire, elle couche sur le papier, le fruit de son imagination qu’elle concrétise le plus souvent, offrant son corps aux délices éperdus que la vie lui procure.
Parfois avec des femmes, le plus souvent avec des hommes, elle se laisse aller au joies de la chair et se divertit, cherchant la jouissance partout où elle se trouve.

Lorsque son ex-mari l’a quittée pour une femme plus jeune qu’elle, Isaure s’est dit qu’elle ne se laisserait pas abattre et c’est à cet instant, qu’elle a commencé à mener une vie libérée, profitant des plaisirs de la vie.
Depuis ce temps, Isaure entretient des relations avec des nombreux hommes, mais surtout avec les amants qu’elle s’est choisi, au fur et à mesure des ses rencontres.

Aux différentes périodes de la vie d’Isaure, sa sexualité a évolué mais c’est durant ces deux dernières années, qu’elle a vraiment appris à se découvrir et à découvrir son corps, s’épanouissant réellement en tant que femme.

Jour 1

J’ai décidé de reprendre ma vie en main.
Depuis que mon mari m’a quitté, je me sens seule et je m’interroge souvent.
A quoi ressemblerait mon existence, si je n’avais pas fait ce choix ?
Aurais-je vécu bien d’autres expériences ?
Sur le plan affectif et sexuel, ma relation avec lui s’est très vite dégradée.
Les derniers temps, nous ne faisions quasiment plus l’amour…
Aujourd’hui cela me manque et j’entend y remédier, en m’offrant une liberté jusqu’alors inconnue.
J’ai envie de rencontrer de nouveaux partenaires et de m’abandonner au plaisir…
Je veux découvrir à quel point mon corps peut jouir et à quel point je peux profiter de cette jouissance.
C’est décidé ma sexualité, ne sera plus jamais la même !
En écrivant ces lignes, je sens mon sexe s’humidifier et mes seins frémir sous mon chemisier.
Je ressens une envie toute particulière de me faire du bien, une envie que j’ai bien trop souvent réprimée.
Je ne peux retenir ma main qui glisse dans ma jupe et viens explorer mon intimité.
J’ai trop rarement touché, seule, cette partie de mon corps, pourtant si agréable.
Je savoure cet instant avec délectation et me laisse aller au plaisir solitaire.
Cette sensation de mes doigts qui découvrent ma vulve est extraordinaire.
J’écarte mes lèvres qui sont plutôt charnues mais se tiennent très bien…
Je trouve naturellement mon clitoris, organe divin, que toutes les femmes doivent connaitre par coeur.
Il se tend, se raffermit et se dresse dans ma culotte, comme appelé au combat…
Je le touche, il me gratifie de picotements généreux dans le bas ventre, je le malmène un peu.
Mon autre main glisse sous mon chemisier, je saisis ma poitrine qui s’offre sans résister.
Mes mamelons sont durs et bien présents, je les triture et les pince un peu.
Je sens des frissons me parcourir toute entière, j’ai des difficultés à écrire, tellement mes mains sont occupées à me caresser partout.
Je fais tomber ma jupe au sol, je garde ma culotte mais ma main est désormais plus libre.
Je laisse pénétrer mes doigts dans mon puit bouillant de mouille que je trouve relativement étroit.
Il est vrai que je suis très excitée de me retrouver là, à commencer ce journal.
Ce que je raconte est presque indécent et ne devrait jamais tomber entre de mauvaises mains.
C’est la première page et j’y raconte déjà comment je me fais du bien toute seule…
Moi qui n’était pas très porté sur le sexe, je suis la première étrangement surprise.
Mes seins sont à nu entre les deux pans de mon chemisier et j’ai toujours la main derrière le tissus de ma culotte.
Elle est trempée de mon propre liquide, je ne me suis jamais sentie comme ça…
Mes doigts continuent de s’activer sans s’interrompre, je sens le plaisir monter.
Mes cuisses s’écartent toute seules, ce qui était une caresse devient un mouvement rapide.
Je branle littéralement mon clitoris, mon autre main s’approche j’ai envie de m’emplir…
Je lache mon stylo, car l’orgasme est proche.
J’explose en gémissant sans me retenir, je suis absolument seule, personne ne peut m’entendre.
Je n’avais plus jouit depuis autant, depuis des mois.
Je ressens au plus profond de moi même, la reconnaissance d’être une femme et de connaître cet sentiment d’extase intense.

Mes forces m’ont temporairement abandonnée mais je suis heureuse. 

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

La Petite paysanne

Le soleil se lève à peine, à la ferme de la la Petite Ouche. Il est 6h30, comme chaque jour Fane s’est levée aux aurores pour s’occuper des animaux, elle doit se charger de la traite des vaches, et de nourrir les volailles avant de nettoyer les boxes des chevaux. Le travail n’est pas facile mais elle aime ces activités, à laquelle sa famille de paysans la destinait de toutes les façons.  Lorsque Fane travaille à la ferme, sa mère s’occupe généralement des tâches ménagères. Son père est occupé aux travaux des champs et quitte parfois la Petite Ouche pour se rendre sur les marchés où il vend leurs produits.  Fane se retrouve donc souvent seule dans la fraîcheur des étables, où elle s’abandonne parfois, à des instants de bien être qu’elle partage avec elle même.   Allongée dans la paille, à l’abris des regards indiscrets et lorsqu'elle sait que personne ne viendra la surprendre, elle s’installe confortablement et se caresse, jusqu’au point de non retou

Torrides vacances (4)

On reviendra ! ( Voir la fin de l’épisode précédent ) C’était sans compter le retour de Pierre qui revenu de son séminaire, proposa à ses amis et à sa compagne de partir faire un tour en bateau, ce qui laissa présager aux trois récents complices quelques nouvelles aventures sensuelles… Pierre ne se doutait de rien mais il allait lui aussi participer à faire de ces petites vacances, un souvenir particulièrement torride. Il ne restait plus que quelques jours à Sandrine et Jérémy pour profiter de leur séjour et le bateau était sur le point d’être mis à l’eau. Il fut donc décidé par les quatre compères, de se rendre sur une île sauvage à quelques encablures de leur port d’attache. Il faisait particulièrement beau et la mer était très calme. Les deux jeunes femmes et Jérémy, n’avaient pas eu l’occasion de reparler de ce qui s’était passé la veille dans la chambre, comment Marie avait joui de ce nouveau sexe qui la pénétrait ardemment devant sa copine satisfaite. Ils en étaient pour

Le Masseur pornographe (2)

Chaque soir de la semaine, Violette poursuivit la lecture de l’ouvrage sur le tantrisme que lui avait prêté le masseur Armand, et chaque soir elle ne put s’empêcher de se laisser envahir par le désir et déborder par le plaisir qu’il l’ensuivait. Elle se travailla au corps, parfois jusque tard dans la nuit. Elle accumulait un peu de fatigue au travail à cause de cela, mais se trouva tous les jours impatiente de rentrer chez elle pour aller plus loin dans ses lectures et dans ses découvertes. Allongée sur son lit, le livre à côté d’elle, la jeune femme contrôlait sa respiration et commençait à se masturber. Ses doigts allaient naturellement droit au but comme il lui était indiqué dans les écrits, elle appréciait la sensation de cette main sur son sexe. Elle essaya de sortir de ses réflexes habituels, en chassant de son esprit toute pensée fantasmagorique. Elle eut malgré tout du mal à chasser de ses bouillant souvenirs, l’image des mains du masseur sur son corps attentif. Violet