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Deux demoiselles dans les îles (4)

Le séjour des garçons était sur le point de toucher à sa fin quand il fut décidé d’organiser une randonnée dans les collines peu fréquentées de l'île. Chacun se prépara pour l’occasion, emportant dans son sac à dos tout l’équipement nécessaire pour passer plusieurs heures dans la nature alentoure, verdoyante et colorée. Un petit chemin en pente légère s'éloignait non loin de l’hôtel pour rejoindre la végétation et ses plaisirs. Ils marchèrent tous les six un long moment à l’ombre des plantes hautes, profitant du calme et des bruits de la jungle. Les mecs profitèrent de la vue agréable que leurs offraient les filles, leurs fesses remuant dans leur petit short au gré de leurs pas sur le chemin devant eux. Chacun se remémorait les évènements des jours passés, le goût de leurs sexes, les gémissements partagés, les mouvements et les positions entrepris, les lieux de leur extase commune. L’ambiance était heureuse et amicale malgré la tension sexuelle qui demeurait très présente entre eux. L’esprit de franche camaraderie qui avait caractérisé leur rencontre était resté le même et aucune frustration n’avait subsisté dans leurs rapports mutuels.


Leur déambulation dans les méandres de la forêt tropicale leur offrit des instants de douceur insoupçonnés. La moiteur de l’air faisait briller leurs peaux bronzées sous l’effet des quelques rayons du soleil qui parvenaient à pénétrer à travers les feuillages. Les odeurs de plantes exotiques venaient chatouiller leurs narines et augmenter leur sentiment de bien être. Dans son petit short en jean, le tee-shirt retroussé sur les seins, laissant apparaître un joli ventre plat, Jessica fermait les yeux et humait l’air à la recherche d’une grande quiétude. Tom appréciait de la regarder profiter ainsi de cet instant unique en communion avec la nature. Jérémy et Alex filaient devant, tels les meneurs du groupe, hommes forts à la recherche de nouvelles merveilles à découvrir dans cet aventure sauvage. A l'arrière, Priscille et Benoît prenaient leur temps, en symbiose avec leur environnement. A un moment, cette dernière exprima le besoin de satisfaire un besoin naturel. Elle s’écarta un peu du chemin et de Benoît qui l’attendait, sans grande pudeur elle baissa son short rose pale et s’agenouillant, remonta l’ensemble avec son string blanc jusqu’à ses genoux.



Benoît pouvait la voir dans cette position d’abandon, où elle pouvait satisfaire son envie pressante. Un jet continue ne tarda pas à sortir de son méat urinaire et il put l’observer ainsi, se laissant aller et vidant sa vessie. Il fut surpris d’apprécier cette vision d’une femme se soulageant devant lui. Il lui sourit quand elle eut terminé et revint vers lui et elle répondit à son sourire. Ensemble, ils reprirent la marche sans un mot sur cet épisode érotique entre eux. “C’est naturel et c’est très beau !”, se dit Benoît en son for intérieur. Il avait aimé cette image de Priscille, accroupie, jambes ouvertes, urinant au milieu des feuillages. Il en garda un agréable sentiment d’excitation qui ne le quitta plus. Il aurait aimé être là, à la toute fin, approcher sa bouche et passer sa langue, lécher ce qui restait d’une dernière petite goutte de son jus si intime. Il oublia vite cette idée qu’il trouva peu raisonnable et pas très morale en vérité. Il n’en ferait part à personne, pas même à Priscille avec qui il avait pourtant eu une expérience très torride ces derniers jours. Pour Priscille aussi, cet épisode avait été particulièrement excitant. Se montrer ainsi, presque si fragile dans un acte pourtant très banal de la vie, lui avait donné un sentiment de désir intense. Elle aurait aimé être soulagée d’une autre façon, qu’un homme ou une femme, viennent libérer la tension dans son corps, que son sexe soit touché, malmené, rempli par des doigts, par une langue ou par un autre sexe. Son organe de plaisir la faisait souvent souffrir, réclamant caresses, succions et agréables frictions. Une torture si plaisante qu’aucune femme ne pouvait refuser. Elle resta un moment dans ses pensées, portée par des rêves érotiques.



Alex et Jérémy, les marcheurs de devant, arrivèrent à un croisement sans indications. Ils décidèrent de partir par l’embranchement de gauche, après avoir attendu les retardataires. Leur randonnée continua sur un chemin tortueux, entre quelques bosquets de fougères tropicales et des arbres à mi hauteur, faisant flotter une atmosphère aussi étrange que paisible, dans la chaleur humide de la forêt. C’est la découverte de la cascade qui les fit tous sortir de la douce torpeur dans laquelle ils étaient plongés malgré eux. Le paysage qui s’offrait à leurs yeux était incroyable, un lieu magique d’une grande pureté. L’eau retombait dans ce qui semblait être un grand bassin dédié au bonheurs aquatiques, elle était limpide et claire, d’un bleu profond parsemé de reflets argentés. Ils restèrent là un long moment à admirer la beauté de l’endroit, à apprécier la chance que leur donnait la nature de profiter d’un tel plaisir visuel, à écouter le bruit de l’eau retombant régulièrement comme depuis toujours. Ils étaient seuls dans cet écrin sublime, à pouvoir contempler les mystères de la création. Puis ils descendirent s’installer sur les rochers au bord de l’eau, comme s’ils étaient destinés à demeurer ici, comme si l’endroit leur était réservé, comme un sanctuaire idéal. Chacun profitant de ce rêve éveillé, où le soleil faisait miroiter la lumière et ressortir les couleurs des choses. Le vert des feuilles, le bleu du ciel reflété sur la clarté de l’eau, le brun des rochers, tout était magnifiquement éclairé et cohérent, dans cet espace quasi imaginaire.



Il mangèrent léger quelques gourmandises emportées avec eux dans leurs sacs à dos. Ils se reposèrent un peu, allongés sur la pierre, se chauffant au soleil et méditants sur la beauté du monde alentour. C’est finalement Priscille comme souvent qui lança les hostilités, en commençant à se dévêtir tranquillement, elle retira son tee-shirt blanc et son short pour se retrouver en string et en soutient-gorge mais elle ne s’arrêta pas là. La surprise des garçons qui observaient la scène l’oeil mis clos, fut totale lorsqu’elle ôta son le tissus qui supportait ses deux beaux seins fermes et ronds. Ils fixèrent longuement la jolie poitrine ainsi exposée à leur regard vif, Jessica ne put s’empêcher de regarder la scène elle aussi, émoustillée par les charmes plaisants de son amie. Priscille poursuivit son effeuillage, retirant également le bas, au grand bonheur de son public interloqué. Elle posa un instant dans une position lascive et se leva pour se diriger vers l’eau en adressant un sourire amusé à Jessica qui compris toute de suite qu’elle l'invitait à en faire autant. Alors que Priscille entrait dans l’eau comme une déesse pleine de pureté, Jessica commença elle aussi à se déshabiller, renforçant d’autant plus l’étonnement des garçons. Ils virent apparaitre également ses deux jolis seins en poire, son joli ventre plat, ses cuisses galbées et la petite toison brune conservée sur son pubis. Elle se leva à son tour et rejoignit son amie dans le bassin, face aux 4 amis ébahis. Les deux filles se prélassèrent dans l’eau, profitant de leur nudité et du contact de l’eau avec leur corps au naturel. Les garçons se demandèrent s’ils devaient les rejoindre ou les laisser se baigner ainsi toutes seules. Finalement, elles les interpelèrent pour qu’ils viennent eux aussi se baigner mais ne sachant pas s’ils devaient se déshabiller eux aussi, ils restèrent un moment incapables de bouger. Les filles durent faire l’effort de revenir sur les rochers, pour les inciter physiquement à se dévêtir. Priscile déshabilla Benoît puis Jérémy, Jessica aida Alex et Tom. Les thee-shirt volèrent, les shorts puis les caleçons, les 4 mecs se retrouvèrent dans le plus simple appareil, prêt à sauter dans l’eau fraîche. Plutôt excités par la situation, chacun se retrouva avec le sexe à demi érigé au moment d’entrer dans le lagon, ce qui eu le mérite de chauffer un peu plus les deux jeunes femmes. La suite des évènements allait être plus que torride, tel qu’avait envisagé Priscille avec son petit stratagème. Elle se rapprocha d’un des garçons et commença à se frotter à lui, très vite son érection gonfla.



En très peu de temps, ce qui devait être une pause baignade se transforma en partie de sexe à 6. Les gars suçant les seins des filles qui les branlaient sous l’eau avec leurs deux mains occupées, si bien que tout le monde en avait pour son compte une fois de plus. On ressortit sur le bord pour que les filles puissent sucer l’un puis l’autre garçon, et même les deux en même temps. La scène semblait hors du temps, les mecs se regardaient l’air incrédule mais souriants, devant la vision de ses deux nanas toutes à leur affaire et à cet instant précis, comme exclusivement intéressées par les sexes bien durs. Elles passaient leur langue bien tout autour des glands, humides et luisants de salive, leurs yeux dans ceux des garçons, passant d’une bite à l’autre. Et puis, elles furent léchées à leur tour, sur le bord de l’eau, pendant qu’elles continuaient chacune à satisfaire un garçon de leur bouche experte. Les explosions de plaisir se suivirent les unes après les autres au milieu de cette forêt inexplorée, les mecs éjaculant dans un râle salvateur presque sauvage une sève luisante de leur bambou fièrement dressé, et extirpant aux filles des gémissements terribles alors que leurs doigts exploraient leur grottes intimes. C'était comme un retour au sources, à l'essentiel de la vie, au plaisir si simple de l'existence. Le rapprochement instinctif de ces êtres, qui ne voulaient que jouir sans s'arrêter. A l'apogée de cet instant, c'est du sexe de Jessica que jaillit la source vive et originelle, arrosant sans pouvoir se retenir Tom qui s'appliquait à la doigter fermement. Son cri bestial, transperça la végétation et sembla filer à travers les arbres, alors qu'elle déchargeait tout son plaisir avec forte expression verbale. Rarement, elle s'était abandonnée de cette façon aussi ouvertement devant quelqu'un d'autre, mais elle était heureuse car la jouissance l'avait transportée. Elle retomba chancelante, dans un sourire évocateur, semblant remercier celui qui lui avait arraché un tel orgasme. Lui aussi était heureux, d'avoir fait vibrer autant une femme, en jouant avec son corps. 

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