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Torrides vacances (4)



C’était sans compter le retour de Pierre qui revenu de son séminaire, proposa à ses amis et à sa compagne de partir faire un tour en bateau, ce qui laissa présager aux trois récents complices quelques nouvelles aventures sensuelles… Pierre ne se doutait de rien mais il allait lui aussi participer à faire de ces petites vacances, un souvenir particulièrement torride.

Il ne restait plus que quelques jours à Sandrine et Jérémy pour profiter de leur séjour et le bateau était sur le point d’être mis à l’eau. Il fut donc décidé par les quatre compères, de se rendre sur une île sauvage à quelques encablures de leur port d’attache. Il faisait particulièrement beau et la mer était très calme. Les deux jeunes femmes et Jérémy, n’avaient pas eu l’occasion de reparler de ce qui s’était passé la veille dans la chambre, comment Marie avait joui de ce nouveau sexe qui la pénétrait ardemment devant sa copine satisfaite. Ils en étaient pourtant restés tous les trois, heureux et troublés, Pierre ne se doutait de rien.

Les préparatifs allaient bon train, Marie se demanda si ses amis seraient prêts à aller plus loin dans ces jeux coquins. Elle aurait aimé que son homme participe à ces ébats. De son côté Sandrine y avait bien pensé aussi, se disant qu’elle aimerait bien goûter à son tour, aux joies d’un autre sexe masculin. Jérémy compris à l’innocente attitude de Pierre, qu’il n’imaginait rien de ce qu’avait pu faire Marie en son absence. Chacun prit part à l’organisation de la traversée et le bateau récemment rafraîchi dont la rénovation venait d’être terminée par les deux hommes, fut bientôt prêt à prendre le large.

Au moment de larguer les amarres, les aventuriers faillirent oublier la glacière de boissons ce qui eût été une grave erreur, tant les vapeurs enivrantes de l’alcool pourraient les aider à se désinhiber. La croisière prit rapidement son rythme, Pierre en tant que fier capitaine de son petit navire, menait la barre aux côtés de Jérémy son fidèle second et marin en herbe. Les deux jeunes femmes avaient pris place à l’avant du bateau et profitait de la chaleur du soleil leur caressant la peau. De là où ils se trouvaient, leur deux hommes ne pouvaient les entendre et leur conversation tourna vite autour des évènement de la veille.  


Cette fois c’est Sandrine qui relança le sujet et avoua à sa copine, avoir été particulièrement troublée par leurs récents ébats. Elle sembla effectivement très excitée par la situation, comme prête à poursuivre un peu plus loin dans ses découvertes. Elle même plutôt enchantée par ces nouvelles expériences, Marie poursuivit la conversation. Elles avouèrent toutes deux, avoir l’envie de recommencer rapidement. Comme pour échauffer leurs mecs respectifs, les deux complices se décidèrent à faire du monokini sur le pont du bateau. Pierre n’en revint pas de voir sa femme se dénuder ainsi, mais il fut surtout particulièrement surpris de pouvoir admirer la belle poitrine ferme et généreuse de Sandrine.

Jérémy qui connaissait déjà quelque peu les petits seins sexy de Marie, fit en sorte de feindre la surprise. Durant la traversée qui ne devait pas durer plus d’une bonne heure trente, les deux hommes ne cessèrent de jeter des regards appuyés sur les deux jolies poitrines qui s’offraient à leur vue. Pierre complimenta Jérémy sur les seins de sa compagne, ce dernier lui retourna le compliment en qualifiant de mignons ceux de Marie.

Peu avant d’arriver sur l’île, le concours des deux jeunes femmes fut sollicité pour la phase d’accostage et elle se rhabillèrent malgré tout, avec un peu de déception. Le soleil leur chauffant la peau les avait plongé dans une sorte de bien être, comme les prémices à de futures réjouissances charnelles. A leur descente sur la plage, le sable était chaud et il n’y avait personne. Une fois le bateau amarré, les deux couples entreprirent de visiter un peu l’île qui n’était pas bien grande, mais totalement sauvage seulement habitée par les crabes et les oiseaux.


Pierre se saisit d’un bâton solide et passa devant, pour s’enfoncer dans les herbes hautes. Ils traversèrent quelques centaines de mètres de végétation, pour aboutir de l’autre côté de l'îlot, sur une jolie plage à l’abri des regards offrant une vue dégagée sur l’océan. On installa les serviettes et les parasols emportés sur le bateau. Le soleil montait déjà bien haut dans le ciel et la chaleur était déjà très agréable. Les deux garçons se jetèrent immédiatement à l’eau pendant que les filles prenaient leurs aises sur le sable.


Lorsqu’ils revinrent après avoir bien pataugé dans l’eau, les garçons proposèrent aux filles de faire une partie de volley. Durant le jeu, Pierre ne cessa d’observer les seins de Sandrine qui ballottaient dans son bikini. Les deux masses de chaire lourdes et gonflées, se baladaient de haut en bas à chaque action de la jeune femme, lorsqu’elle sautait pour attraper le ballon. Il se demanda ce que cela pouvait bien faire, de tenir dans ses mains de tels attributs et d’en sucer les mamelons durcissants. Il tenta de chasser bien vite cette pensée lubrique de son esprit.


Mais lorsqu’après s’être rafraîchies dans l’eau à l’issue du match improvisé, les deux femmes retirèrent à nouveau le haut, Pierre n’eut d’autre choix que d’admirer les deux formes incroyables qui s’offraient à son regard. Il dissimula avec difficulté un début d’érection ce qui n’échappa pas à la curiosité de Sandrine qui n’hésita pas à mettre encore plus en valeur sa plantureuse poitrine. Savoir qu’elle excitait un autre homme que le sien, sur cette plage loin de tout, l’excita beaucoup et elle sentit les lèvres de son sexe s’entrouvrir.


Personne ne le remarqua, mais le tissus de son maillot de bain imprima les formes de sa vulve et s’humidifia légèrement. Elle fut prise à cet instant, d’un désir intense qu’il lui tardait de pouvoir satisfaire. Lorsqu’elle commença malgré elle à se tortiller sur sa serviette, Marie compris à quelle point son amie pouvait être excitée par la situation. Elle en ressentit elle même, un agréable frisson et se demanda comment elle pourrait faire pour accélérer les choses. Pour tester les réactions de Pierre et de Sandrine, elle proposa à Jérémy de l’accompagner jusqu’au bateau pour chercher de quoi préparer le pique nique et boire l'apéritif.


Jérémy qui avait déjà pu apprécier l’étendue des idées lubriques des deux jeunes femmes, compris à son intonation ce qu’elle envisageait et accepta de l’accompagner sans broncher. Marie espérait qu’en laissant son amie avec son propre conjoint, dans l’état d’excitation où ils semblaient être tous les deux, la situation déraperait nécessairement. Elle même n’entendait pas se priver de ce que la compagnie de Jérémy pourrait lui apporter de réjouissant…


Afin de revenir assez vite sur le lieux des festivités, elle pressa le pas devant Jérémy qui la suivait. Elle lui lança sur un ton très évocateur : “Dépêche toi Jerem, on va rater le meilleur !”. Il sourit sans relever l’allusion à ce qui pourrait se passer sur la plage entre Pierre et Sandrine. Mais lorsqu’ils furent sur le bateau, c’est la vue du postérieur de Marie qui rendit Jérémy fou d’excitation, lorsqu’elle se pencha en avant pour attraper quelques affaires. Il ne put s’empêcher d’envisager une étreinte sexuelle et de s’approcher d’elle, avec de fermes intentions.


Sur la plage, la tension entre Sandrine et Pierre n’était pas retombée, encore moins depuis qu’ils étaient restés seuls. Dans leurs deux têtes, les pensées coquines se succédaient sans interruption si bien que l’érection de Pierre était désormais impossible à dissimuler, pas davantage que la mouille sur la culotte de Sandrine. Ses tétons étaient dressés sur le haut de ses seins, comme preuve de son irrésistible envie de sexe. C’est finalement la jeune femme, quelques peu désinhibée de ses ébats avec Marie et Jérémy, qui lança sans détour les hostilités.


Elle fixa Pierre dans les yeux et lui fit savoir qu’elle avait remarquée l’état de sa verge dressée dans son short de bain. “Mais Pierre, tu bandes ? C’est moi qui te fait autant d’effet ?”, lui asséna-t-elle ! L’homme se sentit affreusement gêné d’être ainsi pris sur le fait, mais Sandrine en fut d’autant plus excitée de cette soudaine fragilité du membre viril. Elle tenta le rassurer immédiatement : “N’ai pas honte, ça me flatte. D’ailleurs, je suis déjà toute mouillée…” Devant une franchise aussi crue, Pierre fut pris d’un étrange sentiment.


Il ne savait pas quel jeu entendait jouer Sandrine, en lui dévoilant ainsi la réalité de son propre état d’excitation. Ne lui laissant pas le temps de réagir, Sandrine renchérit aussitôt. “Ecoute, nous sommes amis et il n’y a pas de gêne entre nous. Est ce que cela te dérange si je refais tomber un peu la pression tout seule ?”. Pierre ne savait pas ce qu’il devait répondre, il émit un son entre l'acquiescement et la dénégation.


C’est seulement lorsqu’elle s'exécuta qu’il comprit c’est qu’elle voulait dire. Sandrine glissa une main dans son slip de bain et commença à se caresser sans aucune honte. Pierre resta fixé de longues secondes, à regarder cette main experte qui commençait à s’agiter sous le tissu. Dans l’échancrure, il apercevait désormais les grandes lèvres de Sandrine qui s'écartaient pour laisser passer ses doigts et agiter son clitoris.


Sur le bateau, Jérémy qui s’était approché de Marie, l’avait saisie par l'arrière train et sa verge également tumescente planté droite dans son maillot, entre les fesses de la jeune femme, il lui triturait les tétons de ses petits seins et glissa une main dans le bas de son maillot, pour introduire ses doigts dans la petite fente qui se trempait naturellement. Loin de rester immobile et de se laisser faire, Marie passa sa main derrière elle et attrape la queue bien gonflée de Jérémy pour la branler énergiquement pendant qu’il la masturbait.

Lorsqu’elle sentit le plaisir monter trop fort, elle l’interrompit pour se retourner et s’agenouiller devant lui afin de le prendre en bouche. Elle le suça goulûment, sans pour autant le faire éjaculer. Reprenant le contrôle de la situation, elle l’invita à retourner sur la plage afin de retrouver l’autre couple improvisé, dont elle se doutait qu’il n’en étaient plus à la phase d’observation. Déjà très en condition, ils profitèrent néanmoins de la route pour boire un peu de bière.


Effectivement, sur la plage, Pierre qui n’en pouvait plus avait sortie sa queue et remuait son membre devant Sandrine qui haletait de plaisir. Sa main trouva le slip qu’il écarta et ses doigts pénétrèrent le sexe imbibé de la jeune femme. Il n’en revenait pas, elle avait le minou complètement ouvert et glissant de cyprine, la pénétration digitale se faisait sans difficulté. Il la pris avec ses doigts, avec une folle énergie, ce qui la fit gémir fortement. Il s’inquiéta du retour de Marie et Jérémy, lesquels déjà revenus et dissimulés derrière un arbre, profitaient allègrement de cette incroyable scène.


C’est Marie qui s’approcha la première et les interpella : “Dis donc vous deux, on ne vous dérange pas ?” , Pierre fut pris d’un mouvement de recul et demeura encore plus circonspect, lorsqu’il vit sa compagne lui sourire. “N’aie pas peur mon chéri, il n’y a pas de mal à se faire du bien après tout”. Il faillit s’étouffer lorsqu’elle leur proposa de continuer, tout en précisant qu’elle allait s’occuper de Jérémy dont elle ressorti la verge, afin de la prendre en bouche à nouveau.


Une scène particulièrement torride se déroulait désormais sur cette plage, Jérémy se faisant sucer par Marie, pendant que Pierre gratifiait Sandrine d’un délicieux cunnilingus, gobant de sa bouche aguerrie, les lèvres et le clitoris simultanément. Elle gémissait beaucoup, ce qui excitait l’ensemble du quatuor. A un moment, où elle ne tenait plus, elle réclama qu’on la prenne et se positionna d’elle même en levrette. Pierre ne se fit pas prier, et saisissant son pénis érigé, le présenta à l’entrée du vagin qui s’offrait à lui.


Au moment, où il s’inséra à l’intérieur du puit bouillant, Sandrine exprima un long gémissement de satisfaction comme s’il attendait depuis déjà trop longtemps, qu’un attribut bien ferme la pénètre au plus profond. Ses plaintes devinrent des cris, lorsque le va et bien pris son rythme de croisière derrière elle et à l’intérieur de son sexe. Marie qui ne tenait plus non plus, fit s’asseoir Jérémy afin de s’asseoir sur lui pour aller et venir à son tour. La jeune femme commença à s’exprimer elle aussi, faisant concert avec son amie.


Leurs vocalises s’accordaient parfaitement et personne ne pouvait les entendre, si bien qu’elles s’en donnaient à coeur joie, s’entrainant l’une et l’autre dans l’expression de leur contentement charnel. Les cuisses de Pierre claquaient contre les fesses de Sandrine, qui remuait son bassin pour améliorer encore davantage l'intensité des coups de boutoir qu’elle subissait. Marie remuant d’avant en arrière mais également de bas en haut, sur la bite dressée de Jérémy. A un moment, elle se plaça elle aussi en levrette face à Sandrine et les jeunes femmes, s’embrassèrent ardemment pendant que les deux hommes les pilonnaient.


C’est Sandrine et Pierre qui abdiquèrent les premiers, lorsqu’elle sentit monter son orgasme elle s’annonça avec élégance : “Ca vient, t’arrêtes pas, je vais jouir !”, et elle explosa dans un tonnerre de mots et d’onomatopées, entre amusant “J’adore ça” qui fit sourire son amie et un “Oui c’est bon ! Je jouis” qui venait clôturer leur coït, alors que Pierre se répandait largement en elle. Ce dernier n’en revenait toujours pas de cette folie qui les avait attrapé.


Marie continuait à se faire emplir à quatre pattes, Sandrine l’embrassa de nouveau. Lorsqu'elle sentit Jéremy proche de la fin, elle se retira et c’est toutes deux, la bouche sur le sexe qu’elle le firent éjaculer abondamment sur leurs visages. Souillées de sperme chaud, mais heureuse et comblées, les deux jeunes femmes souriaient radieusement. Les deux compagnons, se regardaient également sourire aux lèvres, devant le spectacle terrible, de leurs deux femmes ainsi contentées.


Il fut alors facile pour Sandrine, Marie et Jérémy, de raconter à Pierre ce qu’il s’était passé. Ce dernier un peu jaloux d’être le dernier informé de ces nouveaux espaces de jeux qui s’étaient ouverts à eux, en fut toute de même plutôt content. Il imaginait déjà ce que l’avenir pourrait leur réserver de prometteur, maintenant qu’il savait sa compagne, ouverte à de telles opportunités. Les deux jeunes femmes avaient offert à leur conjoint respectif, un délicieux avant goût des possibilités de jouir qu'elles entendaient désormais s'octroyer, pour le plus grand bonheur de ces messieurs.


L’aventure s’acheva en fin d’après midi, par un retour tranquille sur la mer calme, arrosé de quelques bons verres. Retour pendant lequel les deux filles, se donnèrent un nouvel orgasme, en se dégustant l’une et l’autre sur l’avant du bateau devant le regard amusé des deux capitaines. Au terme de la traversée, était l’issue du voyage et déjà la fin des vacances pour Sandrine et Jérémy, mais on se reverrait très vite, forts de ces bonnes expériences et excités pour longtemps.


A l’arrivée à la maison, Michel et Catherine, les parents de Marie les attendaient sur le pas de la porte. Fiers comme des coqs, de pouvoir leur présenter leur nouvelle acquisition, un flamboyant camping car avec lequel ils envisageaient de partir traverser les Etats-Unis. C’était le rêve de Sandrine et Jérémy, d'acheter un camion à retaper et de partir sur les routes, des rêves de grands espaces plein la tête et peut être aussi quelques fantasmes, ouvrant là encore une nouvelle voie vers des plaisirs insoupçonnés.


La suite dans Sexual Road Trip (à venir)

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