Jour 3
Cela fait trois jours que j’écris dans ce journal et
chaque fois mon excitation grimpe encore un peu.
Je crois qu’il va rythmer le tempo des mes séances de
caresses.
A ce moment déjà, j’ai encore envie de me toucher…
Je suis folle de désir, rien qu’en pensant à mon
corps nu.
J’entreprend de me regarder dans un miroir et me
trouve belle, pour une fois.
Comme si, le plaisir de ces derniers jours, m’avait
rendu plus jolie.
J’observe mes seins, mes épaules, mes
cuisses.
A mon âge, je subis quelque peu les âpres du temps
qui passe.
Je reste très désirable pourtant, c’est ce que je
crois, peut être pour me rassurer.
Si j’éprouve encore tant de plaisir, c’est que j’ai
bon nombre d’aventures à vivre.
J’écarte les cuisses et dévoile mon sexe face à la
glace.
La vision qu’il me renvoie m’interpelle.
Jamais je n’avais encore regardé mon entrejambe de
manière aussi impudique.
Je la trouve belle ma petite chatte que j’ai épilée
soigneusement.
J’ai gardé un duvet blond, au dessus de mon petit
gouffre secret.
J’écarte mes lèvres et dévoile une vulve harmonieuse,
aux lèvres symétriques.
Mon clitoris est bien au centre et déjà tout gonflé,
sans même l’avoir effleuré.
Je sens qu’il réclame qu’on s’occupe de lui mais j’ai
envie de le laisser patienter.
Je m’observe de partout, de face comme de
profil.
J’ose me mettre à quatre pattes, dans une position
très lubrique.
J’écarte à nouveau ma fente, je la trouve luisante et
ouverte.
J’écarte honteusement mes fesses encore bien fermes
pour mon âge.
Je trouve le petit trou rose, c’est incroyable comme
cette vision m’excite.
Le goût de l’interdit probablement.
Je rêve de goûter avec délectation, à ce plaisir non
autorisé.
J’aimerais qu’on l’enduise de salive, avant d’y
introduire un doigt puis deux.
Je commence à me masturber dans cette position,
toujours de dos, à quatre pattes, face au miroir.
Je regarde ma main s’agiter entre mes cuisses, ma
chatte est rose cramoisi.
Je souffle de plaisir.
Si quelqu’un me voyait…
Je suis complètement offerte à qui viendrait me
prendre dans cette position.
Depuis le temps que je n’ai pas été prise…
Je me languis d’un sexe masculin, bien dur, bien
droit, bien au fond de moi…
Je mouille mes doigts et caresse mon petit orifice.
Quelle délice que cette douce pression entre mes
fesses.
J’adore.
Je continue à me toucher le clitoris et à presser mon
anus sans le forcer.
Il est trempé de ma salive et un doigt finit par
s’introduire.
Je me pénètre par derrière et cette vue m’encourage
et m'enchante.
Je doigte mon sexe en même temps.
Seule, je suis presque comme double pénétrée.
Mes doigts entrent et sortent doucement en cadence.
Très vite, je m’abandonne et je jouit de
partout.
Je gémis de bonheur, seule face à mon reflet.
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