Accéder au contenu principal

Le Journal d'Isaure (Jour 2)

Jour 2

En surfant sur internet, j’ai trouvé plusieurs sites intéressants.
Je me suis inscrite sur un site de rencontre libertines et j’ai vadrouillé sur les sites de vente en ligne d’accessoires coquins.
Ce nouveau monde et ces fantasmes récents, me font oser des choses incroyables.
J’ai entamé la conversation avec plusieures hommes, l’un en particulier me déstabilise par ses paroles, à la fois très crues et très raffinées.
Il m’a demandé si j’aimais faire l’amour, ce à quoi je n’ai pu répondre que oui.
Il m’a demandé aussi si j’étais épilée.
Cette question m’a parue à la fois très déplacée et follement excitante.
Je n’ai su quoi faire, lorsqu’il m’a demandé si j’accepterais de lui envoyer une photo de ma petite toison de pubis.
J’ai longuement hésité mais il m’a paru tellement aguiché par l’opportunité d’une telle vision, que j’ai finalement cédé à sa demande.
J’ai saisi mon appareil photo et j’ai tâché de faire la meilleure prise, pour réaliser une photo très érotique.
J’ai mouillé follement à ce moment là…
Mon sexe était trempé à nouveau.
Je lui ai envoyé le résultat de ma séance photo.
Il a semblé complètement fou avec ça, et m’a dit qu’il ne pouvait s’empêcher de se caresser la verge en voyant ma toison…
J’ai imaginé son sexe bien bandé.
Je ne pouvais m’empêcher de gesticuler sur ma chaise, tellement mon sexe devenait chaud.
De manière discrète, même si j’étais toujours seule chez moi, je me frottais doucement.
Je gémissais très légèrement, de petits sons de contentement.
J’imaginais toujours cet homme, en train de se masturber derrière son écran.
J’allais aussi commencer à me masturber en même temps que lui.
Il m’a demandé si je souhaitais le voir se branler, j’ai refusé et il a compris.
Il a compris que je préférais l’imaginer plutôt que le voir se faire plaisir.
Mon imagination me permettait de voir l’homme que je souhaitais, sans crainte d’être déçu.
Lui aussi s’est mis à m’imaginer en parole, ça m’a complètement rendu folle.
J’ai touché mon sexe furieusement, j’ai même mouillé la chaise.
A un moment, il n’a plus répondu et je crois qu’il a jouit devant son ordinateur.
J’ai continué à me caresser, en pensant à sa main qui allait et venait sur sa tige dressée.
J’ai vu le gland tumescent, le prépuce monter et descendre, donnant du plaisir à son frein.
Je me suis doigtée comme une dingue.
J’ai gémis sans me retenir, mes longs doigts allant et venant au fond de moi.
J’ai pensé au plaisir de cet homme, avec sa sève qui monte en partant des testicules.
J’ai visualisé dans ma tête, les longs jets de sperme chaud qu’il a dû jeter devant lui.
En même temps que lui dans mes pensées, j’ai donné à mon corps un orgasme terrible.

De tant de plaisir, j’étais heureuse à nouveau.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Le Journal d'Isaure (Jour 1)

Isaure a 51 ans aujourd’hui, depuis 2 ans, elle tient un journal très intime, dans lequel cette jolie femme très bien conservée pour son âge, raconte le récit de ses plaisirs… Aux gré des aventures palpitantes que son désir lui inspire, elle couche sur le papier, le fruit de son imagination qu’elle concrétise le plus souvent, offrant son corps aux délices éperdus que la vie lui procure. Parfois avec des femmes, le plus souvent avec des hommes, elle se laisse aller au joies de la chair et se divertit, cherchant la jouissance partout où elle se trouve. Lorsque son ex-mari l’a quittée pour une femme plus jeune qu’elle, Isaure s’est dit qu’elle ne se laisserait pas abattre et c’est à cet instant, qu’elle a commencé à mener une vie libérée, profitant des plaisirs de la vie. Depuis ce temps, Isaure entretient des relations avec des nombreux hommes, mais surtout avec les amants qu’elle s’est choisi, au fur et à mesure des ses rencontres. Aux différen...

La Petite paysanne

Le soleil se lève à peine, à la ferme de la la Petite Ouche. Il est 6h30, comme chaque jour Fane s’est levée aux aurores pour s’occuper des animaux, elle doit se charger de la traite des vaches, et de nourrir les volailles avant de nettoyer les boxes des chevaux. Le travail n’est pas facile mais elle aime ces activités, à laquelle sa famille de paysans la destinait de toutes les façons.  Lorsque Fane travaille à la ferme, sa mère s’occupe généralement des tâches ménagères. Son père est occupé aux travaux des champs et quitte parfois la Petite Ouche pour se rendre sur les marchés où il vend leurs produits.  Fane se retrouve donc souvent seule dans la fraîcheur des étables, où elle s’abandonne parfois, à des instants de bien être qu’elle partage avec elle même.   Allongée dans la paille, à l’abris des regards indiscrets et lorsqu'elle sait que personne ne viendra la surprendre, elle s’installe confortablement et se caresse, jusqu’au poi...

Le Masseur pornographe (2)

Chaque soir de la semaine, Violette poursuivit la lecture de l’ouvrage sur le tantrisme que lui avait prêté le masseur Armand, et chaque soir elle ne put s’empêcher de se laisser envahir par le désir et déborder par le plaisir qu’il l’ensuivait. Elle se travailla au corps, parfois jusque tard dans la nuit. Elle accumulait un peu de fatigue au travail à cause de cela, mais se trouva tous les jours impatiente de rentrer chez elle pour aller plus loin dans ses lectures et dans ses découvertes. Allongée sur son lit, le livre à côté d’elle, la jeune femme contrôlait sa respiration et commençait à se masturber. Ses doigts allaient naturellement droit au but comme il lui était indiqué dans les écrits, elle appréciait la sensation de cette main sur son sexe. Elle essaya de sortir de ses réflexes habituels, en chassant de son esprit toute pensée fantasmagorique. Elle eut malgré tout du mal à chasser de ses bouillant souvenirs, l’image des mains du masseur sur son corps attentif. Violet...