Accéder au contenu principal

Dans l'intimité d'une étudiante (3)

Durant toute la semaine qui suivit, Cécile ne put s’empêcher de repenser à ce garçon qui l’avait tant troublée à la bibliothèque. Ses nuits furent agitées et ses réveils ponctués par les caresses matinales qu’elle n’hesitait pas à se prodiguer, pour satisfaire ses pulsions renforcées par ses nouveaux désirs. Chaque matin, elle émergeait des bras de Morphée avec des picotements dans le bas ventre qu’elle ne pouvait s’empêcher de satisfaire par des gestes maîtrisés, s’abandonnant au plaisir. Elle se levait de bonne humeur, rendue énergique par ces premiers instants d’extase. Elle rejoignait ensuite la douche où elle continuait parfois à se caresser… 

Ce jour là, après avoir avalé son petit déjeuner, elle quitta son appartement en tenue de sport, pour rejoindre le terrain où avait lieu son cours d’athlétisme hebdomadaire. Elle apprécie particulièrement ce moment de la semaine, où elle pouvait relâcher la pression tout en appréciant d’un regard furtif autour d’elle, tant le corps musclé des mecs sportifs que les jolies formes des filles dans leurs leggings moulants. Parfois, elle s’imagine qu’elle va rejoindre l’une d’entre elles sous la douche des vestiaires, pour coquiner ensemble. Cécile n’a jamais eu de relation avec une femme mais il est vrai que cette idée l’excite particulièrement. Plusieurs fois, elle s’est surprise à fantasmer sur les agréables courbes de certains corps féminins, une amie, une prof ou une femme croisée dans la rue.

A son arrivée au terrain, elle fut à la fois surprise et mal à l’aise de croiser le jeune homme de la bibliothèque qui sortait des vestiaires alors qu’il y entrait. Elle fut prise d’un frisson étranger lorsqu’il croisa son regard et lui sourit, tout en poursuivant son chemin. Elle n’eut pas le temps de réagir en quelques secondes, il était déjà parti. Elle rejoint les vestiaires des filles, où elle déposa ses affaires sans s’attarder et ressortit pour aller s'échauffer. Sur la piste d’athlé, elle retrouva quelques amis sportifs déjà là depuis un moment, et certaines personnes qu’elle n’avait encore jamais croisé. Parmi ces gens, une jeune femme que Cécile ne mit pas longtemps à remarquer tellement elle se déplaçait avec aisance sur le terrain, dans une tenue de sport qui mettait ses formes particulièrement en valeur.


La jolie brune faisait des accélérations qui permettaient à ses cuisses musclées de s’élancer sur la piste, au rythme de ses fesses qui accompagnaient ce mouvement. Ses seins étaient soigneusement maintenus dans une brassière adaptée. Pendant un long moment, Cécile ne put s’empêcher de la regarder courir ainsi, si bien que son échauffement pris un sérieux retard. Midi approchant et leur entraînement terminé, ses amis quittèrent le terrain les uns après les autres. Ne restèrent finalement bientôt plus que Cécile et la jeune femme qui poursuivait sa séance de sport avec application. Cette dernière quitta les lieux peu de temps avant elle, et lui adressant un sourire poli avant de rejoindre les vestiaires. 

Lorsque Cécile se décida à interrompre son entrainement à l’arrivée de la pluie, elle était la dernière à quitter les lieux, la plupart étaient déjà partis déjeuner. Elle regagna les vestiaires et retrouva son sac, c’est alors qu’elle remarqua alors qu’un autre sac était toujours présent sur un banc non loin d’elle. Plus loin, elle entendait le bruit de pression caractéristique d’une douche qui coulait, elle fut prise d’un sentiment étrange et se demanda si c’était la jolie fille brune qui n’avait pas encore terminé de se laver après le sport. Elle attrapa sa serviette et son shampoing et se dirigea vers les douches collectives du vestiaire des filles. Elle prit soin de ne pas faire trop de bruit comme si son inconscient lui dictait judicieusement cette conduite à cet instant précis. Au moment où elle arriva à la porte des douches, elle s’interrompit tout net, de dos face à elle la jeune femme brune prenait son temps et se prélassait sous l’eau, entièrement nue. Elle apercevait ses fesses fermes et bien rondes, ses longues jambes fines et musclées, ses épaules naturellement dessinées. 

Elle resta un instant à l’observer et mit un peu de temps à comprendre ce qu’il se passait. En face d’elle, la sportive se caressait. Entre les cuisses, elle remarqua finalement la main qui s’activait doucement sur le clitoris, effleurant légèrement l’entrée du vagin entre les lèvres. Elle fut prise d’un doute incertain, devait-elle prendre sa douche comme si de rien était ou faire demi-tour pour laisser cette fille terminer tranquillement ce qu’elle avait commencé ? Finalement après quelques secondes supplémentaires de réflexion, elle s’engagea dans les douches et choisi une place parmi toutes celles qui se présentaient à elle. Faisant mine de ne rien avoir remarqué, elle tira l’eau et commença à se laver. L’autre jeune femme s’interrompit brutalement et l’observa inquiète, comme pour vérifier qu’elle n’avait pas été découverte. Voyant que Cécile ne semblait pas l’avoir vraiment vue faire, elle engagea la conversation. 

Désolé, je ne t’avais pas entendue arriver. Je m’appelle Chloé et toi ?

Cécile lui répondit en souriant, malgré la gêne palpable. Elle discutèrent un peu de leur pratique sportive mais Cécile avait particulièrement du mal à demeurer insensible à la présence de cette jeune femme, nue face à elle, qui se masturbait encore il y a quelques instants. Elle ne pouvait s’empêcher de jeter des regards en direction du pubis de Chloé, laquelle arborait une discrète toison en ticket de métro d’un joli brun naturel. Elle même avait toujours conservé une légère pilosité sur cette région de son corps, par ailleurs bien entretenue. Elle pouvait également admirer sans difficulté, la jolie poitrine bien ferme de Chloé dont les mamelons semblaient encore pointer d’excitation, si ce n’était l’effet de l’eau dégoulinant sur ses seins qui provoquait cette réaction. Elle se rendit compte qu’elle même pointant furieusement à cet instant, ce qu’elle tenta de dissimuler légèrement en se tournant vers le mur pour se rincer.       

En se frottant le corps, elle ne put s’empêcher de passer la main sur ses seins pour les saisir, ce qui provoqua un regain de frissons sur sa peau. Finalement, elles sortirent toutes deux des douches et rejoignirent les vestiaires. Elles s’assirent chacune sur un banc, nues seulement entourées de leurs serviettes. Cécile était plutôt mal à l’aise dans cette situation, sentant l’excitation poindre encore entre ses jambes et au bout de ses seins. Non loin, elle observa Chloé dont la position assise laissait entrevoir son sexe lequel était en partie ouvert, laissant apparaître les chairs roses de l’entrée de son vagin, sa vulve était passablement excitée et toujours luisante de cyprine. 

Elle remarqua alors le regard insistant de Cécile et ne sut trop quoi faire pendant un instant. Elle ne referma pas les jambes pour autant, étonnée et à la fois excitée qu’une autre femme l’observe ainsi de manière curieuse et appuyée. Elle lui sourit et provoqua un rougissement soudain de Cécile qui ne savait plus quoi faire, ainsi prise en défaut. Ne voulant pas laisser durer la gêne trop longtemps, Chloé se permit d’interroger Cécile avec amusement : 


* "Pourquoi tu m’observes de cette façon ? Je suis mal épilée ?"


Cécile n’eu cette fois-ci d’autre choix que de se dévoiler :


* "Je t’ai vue tout à l’heure sous la douche…"


A ces mots, c’est Chloé qui devint écarlate, ne sachant quoi dire. Restant finalement sur le ton de l’humour, elle s’excusa de l’avoir malencontreusement choquée. Ce à quoi, Cécile répliqua pour tenter de la rassurer, en lui disant qu’elle n’avait pas été choquée, plutôt surprise de se retrouver à cet endroit face à une jeune femme se donnant du plaisir en solo. Leur discussion se poursuivit et Chloé avoua que souvent après le sport, elle ressentait le besoin de se donner du plaisir et que cette fois elle avait été un peu frustrée de ne pas pouvoir continuer un peu… A cet instant la tension était palpable entre les deux jeunes femmes, Cécile se surpris elle même en disant à la jeune femme qu’elle ne se serait pas offusquée qu’elle continue malgré sa présence son activité sous la douche.

Elle fut d’autant plus surprise lorsqu’elle vit Chloé descendre sa main vers son entre jambes et tout en la regardant, recommencer à se caresser en écartant bien les lèvres de son sexe pour que Cécile puisse amplement apprécier la beauté et profiter du spectacle de sa masturbation. C’était une vision presque honteuse qui s’offrait à la vue de Cécile, cette vulve ouverte devant elle, rose et gorgée de désir… Les doigts experts de Chloé vinrent titiller son clitoris qui se durcit immédiatement. Cécile pouvait voir le petit bourgeon tumescent, rouler sous les doigts de Chloé qui le malmenait déjà énergiquement. Sans scrupule et désormais presque sans gêne, Chloé branlait son clitoris et exhibait son sexe désormais brillant de mouille et d’excitation.

Cécile ne savait pas comment réagir face à la scène qui se jouait devant elle, malgré quoi c’était l’une des visions les plus excitantes qu’elle n’avait eu l’occasion de voir. Ce n’était pas des images virtuellement glanées sur internet, ici c’était bien réel devant ses yeux, une autre fille se donnait du plaisir sans aucune honte. Elle sentait la respiration de Chloé s'accélérer et le plaisir monter, sa main s’activait désormais avec vigueur sur le clitoris et de temps à autre, elle faisait entrer un doigt ou deux à l’intérieur de son vagin. Face à la jeune femme, elle était nue et sentait le désir de se toucher elle aussi, palpiter dans son bas ventre. L’humidité de son propre sexe commençait à ruisseler à l’intérieur de ses cuisses, Chloé qui continuait de la regarder pendant qu’elle se caressait, l’invita à l’accompagner. 

Cécile ne sachant que faire, se laissa finalement convaincre et guida sa main vers son intimité, y trouvant une chaleur humide toute féminine qui termina de la décider à s’abandonner elle aussi, à ce plaisir inattendu et partagé, face à face. La situation était particulièrement surprenante et excitante pour qui aurait eu la chance de pouvoir l’observer, ces deux jeunes femmes se masturbant l’une et l’autre, dans un mouvement quasi simultané. Dans le silence des vestiaires, le bruit humide caractéristique des doigts qui agitent le clitoris et écartent les lèvres, pour libérer l’accès à ce puit d’amour, pour elles se sentir ouvertes, désirantes et offertes. A cela s’ajoutaient désormais les gémissements étouffés des deux jeunes femmes, lesquels devenaient de plus en plus prononcés du côté de Chloé qui avait naturellement pris de l’avance dans son plaisir… 

Cécile avait remarqué que jusqu’ici Chloé s’était légèrement retenue dans ses mouvements lorsqu’elle sentait venir l’extase trop proche, mais cette fois sa camarade de jeux n’y tenait plus. Elle augmenta d’intensité et ne semblait plus faire attention à sa présence, c’était une masturbation frénétique à laquelle assistait désormais Cécile. Sans perdre son propre rythme, elle était curieuse de voir une autre fille éprouver tant de plaisir devant elle. Elle sentit Chloé se crisper, son visage se tordre d’une expression particulière et cette dernière explosa intensément sans se soucier de l’endroit. 

Lorsqu'elle fut revenue de sa jouissance et quelque peu remise de ses émotions, elle trouva une Cécile quelque peu surprise de ce qu’elle venait de voir. Elle lui sourit timidement, un peu honteuse de s’être ainsi laissée aller devant une inconnue. Cécile s’était interrompue et n’avait pas osé reprendre son activité. Le regain d’excitation de Chloé la fit s’approcher d’elle, lui posant la main sur la cuisse et lui effleurant la peau si douce sans qu’elle n’osa bouger. Cécile ferma les yeux et apprécia sensiblement la caresse, ce qui poussa Chloé à poursuivre plus loin.

De ses doigts agiles et encore moites de ses propres sécrétions, elle s’approcha du point névralgique, ce qui fit frémir Cécile. Doucement mais sûrement, elle commença à la caresser. Par des gestes doux et appliqués, elle pénétra le sexe brûlant de Cécile, deux doigts dans le gouffre chaud et la jeune femme se transporta dans un état second, le plaisir montait mais elle voulait que ça continue. Chloé le comprit et resta à l’orée du vagin qui s’offrait à elle. Par quelque caresses soignées elle humidifia toute la zone, Cécile était trempée. Entraînée par un désir nouveau, Chloé s’accroupit et descendit entre les jambes de sa partenaire, terriblement excitée et elle engouffra sa tête  et commença à appliquer des coups de langue de connaisseuse. 

Chloé avait toujours rêvé de connaître le goût d’un sexe de femme, elle avait à cet instant sa bouche sur l’un d’entre eux et découvrait un bonheur exquis. Cécile était parcourue de frissons de plaisir, cette langue experte lui titillait le clitoris admirablement bien, elle mis ses mains dans les cheveux de Chloé qui redoubla d’intensité entre ses cuisses. Elle lui demanda de continuer alors qu’elle sentait le plaisir l’envahir définitivement, elle jouit dans sa bouche, son sexe redoublant de mouille et de salive.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

La Petite paysanne

Le soleil se lève à peine, à la ferme de la la Petite Ouche. Il est 6h30, comme chaque jour Fane s’est levée aux aurores pour s’occuper des animaux, elle doit se charger de la traite des vaches, et de nourrir les volailles avant de nettoyer les boxes des chevaux. Le travail n’est pas facile mais elle aime ces activités, à laquelle sa famille de paysans la destinait de toutes les façons.  Lorsque Fane travaille à la ferme, sa mère s’occupe généralement des tâches ménagères. Son père est occupé aux travaux des champs et quitte parfois la Petite Ouche pour se rendre sur les marchés où il vend leurs produits.  Fane se retrouve donc souvent seule dans la fraîcheur des étables, où elle s’abandonne parfois, à des instants de bien être qu’elle partage avec elle même.   Allongée dans la paille, à l’abris des regards indiscrets et lorsqu'elle sait que personne ne viendra la surprendre, elle s’installe confortablement et se caresse, jusqu’au point de non retou

Torrides vacances (4)

On reviendra ! ( Voir la fin de l’épisode précédent ) C’était sans compter le retour de Pierre qui revenu de son séminaire, proposa à ses amis et à sa compagne de partir faire un tour en bateau, ce qui laissa présager aux trois récents complices quelques nouvelles aventures sensuelles… Pierre ne se doutait de rien mais il allait lui aussi participer à faire de ces petites vacances, un souvenir particulièrement torride. Il ne restait plus que quelques jours à Sandrine et Jérémy pour profiter de leur séjour et le bateau était sur le point d’être mis à l’eau. Il fut donc décidé par les quatre compères, de se rendre sur une île sauvage à quelques encablures de leur port d’attache. Il faisait particulièrement beau et la mer était très calme. Les deux jeunes femmes et Jérémy, n’avaient pas eu l’occasion de reparler de ce qui s’était passé la veille dans la chambre, comment Marie avait joui de ce nouveau sexe qui la pénétrait ardemment devant sa copine satisfaite. Ils en étaient pour

Le Masseur pornographe (2)

Chaque soir de la semaine, Violette poursuivit la lecture de l’ouvrage sur le tantrisme que lui avait prêté le masseur Armand, et chaque soir elle ne put s’empêcher de se laisser envahir par le désir et déborder par le plaisir qu’il l’ensuivait. Elle se travailla au corps, parfois jusque tard dans la nuit. Elle accumulait un peu de fatigue au travail à cause de cela, mais se trouva tous les jours impatiente de rentrer chez elle pour aller plus loin dans ses lectures et dans ses découvertes. Allongée sur son lit, le livre à côté d’elle, la jeune femme contrôlait sa respiration et commençait à se masturber. Ses doigts allaient naturellement droit au but comme il lui était indiqué dans les écrits, elle appréciait la sensation de cette main sur son sexe. Elle essaya de sortir de ses réflexes habituels, en chassant de son esprit toute pensée fantasmagorique. Elle eut malgré tout du mal à chasser de ses bouillant souvenirs, l’image des mains du masseur sur son corps attentif. Violet