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Enceinte et plus femme que jamais (3)

Lorsque Clarisse est rentrée chez elle, après cette fameuse séance de piscine, elle a retrouvé son mari, assoupi dans le canapé devant la télévision. Elle l’a laissé là et a rejoint la salle de bain pour prendre une douche et se rincer et se débarrasser du chlore sur sa peau. Déshabillée et entièrement nue sous l’eau chaude, elle est restée un moment à se prélasser sans penser à rien mais très vite, ses petites aventures avec cette autre femme à la piscine lui son revenues à l’esprit. L’eau ruisselant sur ses seins gonflés, les mamelons en éveil… Elle le regarda un moment, son petit bidon rebondi dissimulant le bas de son corps. Elle a passé sa main sur son ventre, s'est attardé sur ses cuisses, caressant sa peau dans les moindre recoins, les yeux fermés. Elle apprécie vraiment ces moments de plaisir solitaire, de calme et de volupté qu’elle partage avec elle même, sans crainte pour son bébé.

Après cet intermède de douceurs sur sa peau et après s’être suffisamment lavée, Clarisse sort de la douche et enfile une tunique ample sous laquelle elle ne met pas de sous vêtement. Elle rejoint son mari qui dort toujours dans le salon et tranquillement sans faire trop de bruit, s’assoit à côté de lui. Elle l’observe calmement pendant de longues secondes et est saisie d’une irrésistible envie de lui… Tranquillement elle fait glisser sa main jusqu’à son entrecuisse et commence à caresser sa verge à travers le pantalon. Il ne se réveille pas, mais sa verge elle, se raidit rapidement sous le toucher délicat à travers le tissus. Clarisse est surprise que son homme puisse avoir une aussi belle érection dans son sommeil. Elle ne peut s’empêcher de lui baisser délicatement le pantalon sans qu’il n’ouvre l’oeil cette fois encore.

Elle commence à le masturber tranquillement et le pénis, se durcit encore davantage. Elle voit le gland se rosir, et se gonfler terriblement. Elle approche sa bouche et lape d’un coup de langue… Elle le prend dans sa bouche et le suce en douceur. La bite est à sa taille virile désormais, et emplit entièrement la bouche de la belle suceuse. Par moment elle fait rouler sa langue autour du bout rougissant. Elle aime dispenser ce plaisir à son chéri, elle aime le sentir entre ses lèvres, le faire gonfler, le voir se crisper et venir, en lachant son sperme chaud et le laisser couler au fond de sa gorge. Il ne se réveille pas et pourtant, elle parvient à le faire éjaculer dans son sommeil. En branlant le bâton entre ses mains, elle le sent se bander et lancer sur sa langue, plusieurs belles giclées de liquide blanc délicieux.
Elle reçoit tout dans sa bouche, et ne laisse aucune trace de son méfait, quittant la scène comme elle est venue, arborant un regard malicieux.

A son réveil, ils n’en parlent pas et elle se demande s’il a eu conscience de ce qui a pu lui arriver pendant qu’il dormait. Elle se sent amusée par cette incertitude… Elle aimerait pouvoir raconter cette anecdote amusante à une amie et repense à Célia… Elle n’ose pas lui écrire et pourtant, c’est avec une agréable surprise qu’elle reçoit un texto de sa nouvelle amie, quelques jours plus tard :

Salut Clarisse. Si ça te dit, on peut prendre un verre cette semaine, je n’ai rien à faire. Bisous. Célia”.

Elle répond aussitôt : “Coucou Célia, avec plaisir. Je suis disponible mardi après midi si tu veux. :)”. Le rendez-vous est pris et Clarisse est terriblement impatiente de revoir la jeune femme, convaincue qu’elles vont échanger à nouveau quelques détails croustillants de leur vie de femmes sensuelles....

Elles se retrouvent donc le mardi suivant, attablées à la terrasse d’un café, à siroter un jus de fruit. L’ambiance est détendue entre elles, comme si elles se connaissaient déjà depuis plusieurs années. Elles échangent un moment à propos de leurs futurs petits et Célia partage largement son expérience de maman avec Clarisse. Mais rapidement elles ne peuvent s’empêcher de parler de ce qui les rapproche le plus dans leur grossesse, leur libido en éveil… Clarisse raconte avec amusement à Célia, comment elle a fait jouir Marc pendant qu’il dormait dans leur canapé. Cela fait beaucoup rire cette dernière qui promet d’essayer aussi sur son mec. Profitant de leur après midi ensemble, elle se décident à faire les boutiques notamment afin de trouver quelques vêtements de grossesse. Elle flanent longuement, regardant les petites chaussures, les futurs doudous, et puis se mettent à essayer quelques vêtements.

Célia jette son dévolu sur une robe ample et Clarisse sur une chemise large, toutes deux choisissent également des nuisettes adaptées pour se sentir bien chez elles. Pour plus de simplicité, elles se rendent toutes deux dans une grande cabine, celles généralement réservées aux personnes à mobilité réduite. Chacune essaye ses vêtements, à côté de l’autre ce qui fait monter la température entre elles. Elles se voient l’une et l’autre en petite tenue, chacune les seins gonflés dans leur soutient gorge et en string, noir pour Célia, beige pour Clarisse. C'est lorsque vient l’essayage des nuisettes que la situation devient encore plus chaude… C’est Célia qui finalement lance les hostilités, en laissant échapper son sentiment présent  avec une pointe d’intention lubrique :

Tu vois Clarisse, là c’est typiquement le genre d’endroit et de moment où j’ai vraiment envie de me toucher…” .

Le teint de Clarisse vire au rose pâle, ce que remarque Célia qui la rassure :

Je disais ça pour détendre l’atmosphère ! Je ne vais pas me caresser devant toi !”, s’amuse-t-elle.

Et elle s'admire dans la glace, devant Clarisse qui réfléchit. La vérité c’est qu’elle aussi, cet endroit l’excite désormais, elle se souvient du plaisir échangé à la piscine, entre deux cabines. Elle sourit dans la glace à son amie et lui répond alors :

C’est vrai que moi aussi, cette cabine m’excite…”.

Attrapant la balle au bon, Célia renchérit aussitôt :

Tu veux qu’on se fasse du bien ici ?”.

Clarisse acquiesçe cette fois sans dire mot et sans réfléchir et c’est Célia qui lance les hostilité comme si elle mourrait vraiment d’envie. S'asseyant sur le petit banc de la cabine, la nuisette remonte le long de ses cuisses et laisse apparaître le triangle du string qui camoufle son pubis. Elle glisse sa main à l’intérieur et commence à se caresser, en fermant les yeux. De temps à autre, elle les rouvre pour observer Clarisse qui pour l’instant n’a pas bougé. Elle comprend qu’elle peut se laisser aller sans crainte et commence  elle aussi à se toucher à l’intérieur du string, debout face à Célia. Les deux femmes sont désormais là, l’une face à l’autre en train se caresser. Celia écarte son string d’une main, pour accéder à son sexe par le devant. Clarisse pu apercevoir le joli sexe rose de son amie, au clitoris gonflé sous les roulis entre les doigts.

Elle fait tomber son string au pied de ses jambes, et continue son mouvement sur son sexe. L’une et l’autre se regardent, Celia commence à souffler et s’interrompit brusquement :

J’arrête sinon je vais devoir gémir !”, dit-elle.

Mais Clarisse ne l’écoute plus, sa main remue de plus en plus vite au niveau de son entrejambe. Etouffant un couinement adorable, elle jouit d’un orgasme retenu devant son amie qui la regarde en souriant.

Et bien dis donc ma belle, tu t’es laissée aller !”,

Clarisse se sent gênée mais contentée. Elles quittent la cabine, achetent les vêtement et continuent leurs amplettes. Celia raconte à Clarisse qu’elle n’a pas osé aller jusqu’au bout car elle sentait qu’elle aurait pu jouir plus fort que d’habitude, elle lui confie que depuis sa première grossesse, parfois, il lui arrive d’éjaculer comme un homme en arrosant le sol de liquide incolore. Clarisse est particulièrement intriguée par cette confession et se demande comment cela est possible. Elle n’a jamais vraiment entendu parler de la légende des femmes fontaines, Celia promit de lui montrer un jour… Elle se quittent en fin d’après midi, heureuses, complices et encore excitées de leurs expériences du jour...

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