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Véra (2) - Le colloque

Les choses sont désormais fixées, l'équipe de travail du bureau dont font partie Véra et Thierry doit se rendre 3 jours sur la côte pour un colloque consacré aux nouvelles normes de sécurité. Sans se concerter, l'un comme l'autre y voient l'opportunité de multiplier les occasions de se faire du bien sur le temps de travail et sur le compte de la boite. Le problème en réalité ce sont les autres, deux autres collègues hommes qui doivent les accompagner aussi, sans jamais se douter de ce qui se trame entre les deux amants. Malheureusement pour eux, il est prévu de voyager ensemble avec une voiture de l'entreprise et de séjourner dans le même hôtel, voilà qui contrevient à leurs désirs de se retrouver dans une certaine intimité pour laisser libre cours à leurs envies, pourtant cela les excite à la fois de savoir qu'ils pourraient se faire démasquer par leurs collègues alors qu'ils sont en fâcheuse posture.

Durant le trajet sur l'autoroute, Véra aurait bien aimé faire passer le temps à Thierry en lui prodiguant une agréable fellation pendant qu'il conduisait, en prenant garde qu'il ne perde pas ses moyens à l'approche de la jouissance. Ils durent remettre à plus tard leurs idées lubriques, pour autant Véra ne put s'empêcher alors que Thierry discutait avec les deux collègues installés à l'arrière de la voiture, de laisser doucement et innocemment remonter sa jupe afin de dévoiler autant que possible ses jolies cuisses légèrement bronzées, quasiment jusqu'à laisser entrevoir la dentelle et la soie de son string noir et mauve et ce afin que son amant de conducteur n'en perde pas une miette. Il n'en avait en effet rien raté, si bien qu'elle put apercevoir la bosse que formait son sexe durcissant à l'intérieur de son pantalon. Elle lui lança un regard amusé auquel il répondit par un sourire gêné...

Ils arrivèrent dans la station balnéaire, là où devait se tenir le colloque mais il était prévu qu'ils ne passent pas tout de suite à l'hôtel, ce qui repoussait encore le moment ou l'un et l'autre pourrait faire retomber la tension sexuelle déjà trop accumulée entre eux durant le voyage. Toute l'après midi Véra s'acharna à maintenir l'excitation de Thierry, effleurant sa cuisse, lui jetant des regards brûlants, laissant apparait sa jolie poitrine au sortir de son chemisier, si bien qu'à un moment il dut lui demander d'arrêter pour s'empêcher d'éjaculer dans son pantalon sans même être touché. Il se dit que cette Véra était une vraie tigresse mais que la coquine ne perdait rien pour attendre.

Vers 17h alors qu'elle n'était pourtant pas très loin de lui en train de discuter avec d'autres participants du colloque, il lui adressa un texto particulièrement évocateur : - "Ce soir je te prendrais comme une salope, pour te faire payer tout ce que tu m'as fait subir aujourd'hui !".  Il vit son visage s'illuminer comme si la simple idée de se faire baiser brutalement par son collègue et amant dans quelques heures l'enchantait. Effectivement, la culotte de Véra s'inonda en secret à cette simple idée que plus tard dans la soirée, Thierry se déchainerait en elle à la faire hurler et jouir pendant que lui même vivrait un plaisir animal jusqu'à se répandre en elle, dans un gémissement bestial. La soirée s'annonçait chaude et débridée.

Lorsqu'arrive la fin de la journée de colloque, les participants se dirigèrent vers la sortie. Véra et Thierry rejoignirent leurs deux collègues qui semblaient fatigués par les activités du jour. Il était prévu que chacun rejoigne sa chambre pour déposer ses affaires avant de se rendre à la salle de restaurant pour un dîner. Par chance, aucun des quatre collègues ne disposait de chambre dans le même secteur de l'hôtel, Véra et Thierry y virent un bon point pour faciliter la discrétion quand ils voudraient se retrouver après dîner pour conclure ce qui ne pouvait plus attendre tellement longtemps. Les deux premiers collègues trouvèrent la direction de leur chambre assez vite, il ne resta plus que les deux amants arpentant les couloirs au milieu d'autres participants du colloque aussi à la cherche de leur chambre.

Véra trouva sa chambre en premier, en même temps qu'une autre femme prénommée Claire dont elle avait fait la rencontre dans la journée. Elle se sourirent et Véra glissa à Thierry, - "Ne te branle pas au passage, je veux ma dose ce soir !", il éclata de rire et lui renvoya aussitôt l'appareil, - "Ne te caresse pas non plus, je suis sûr que tu n'en peux plus de m'attendre...". Elle disparut en riant et il gagna enfin son dortoir pour la nuit. Les chambres étaient sensiblement les mêmes, relativement spacieuses incluant une sale de bain privative avec douche et un lit suffisamment grand pour faire l'amour dans différentes positions. Ce fut la première chose que chacun regarda avant de faire un brin de toilette et de se préparer pour le dîner. Véra pensa changer de culotte quand elle reçut un texto de Thierry qui lui intimait l'ordre de garder son string de la journée, excité d'avance par les effluves sexuelles de sa partenaire.

Il se rejoignirent pour le dîner, Véra avait pris soin toutefois de revêtir une petite robe légère qui mettait particulièrement ses formes en valeur. Thierry lui fit un clin d'oeil et l'interrogea sur le fait qu'elle ait changé de tenue, elle lui répondit en souriant à faible voix pour que personne ne l'entende, - "J'ai gardé le même string comme tu me l'as demandé !", le visage de son collègue s'éclaira et ils prirent place à table où ils se retrouvèrent avec Claire et d'autres participants. Durant le repas, Véra remarqua que Claire sympathisait très bien avec un homme d'une trentaine d'année comme elle qui la dévorait des yeux, à tel point qu'elle paria avec elle même que ces deux-là ne manqueraient de flirter réellement avant la fin du colloque. Elle ne pensait pas si faux quand à la fin du repas le jeune homme quitta la table prétextant un dossier important à travailler dans sa chambre, peu de temps après suivi par Claire qui se plaignit d'être fatiguée par la journée. Durant le dîner, Thierry lui s'évertua à échauffer les sens de Véra en lui caressant la cuisse sous la table.

Le dîner pris fin quelques minutes plus tard et chacun regagna sa chambre sans demander son reste. Heureusement, les chambres des deux amants étaient respectivement situées au bout d'un couloir ce qui évitait de croiser trop de personnes. Lorsque les couloirs furent vides, les deux amants commencèrent à se chauffer vraiment. Embrassades langoureuses, caresses appuyées, excitation mutuelle... En approchant de la chambre de Véra, ils furent étonné d'entendre quelques gémissements peu perceptibles mais tout de même évocateurs sur ce qui pouvait se passer de l'autre côté du mur. La jeune Claire n'avait pas perdu de temps, répondant sans regret à l'appel du plaisir ici, à des kilomètres de chez elle. D'autant plus excités par ce qu'ils venaient d'entendre, les deux collègues décidèrent tout de même de rejoindre la chambre de Thierry, plus éloignée et plus discrète pour conclure enfin leur longue journée d'excitation.

A peine la porte fermée, il jeta Véra sur le lit et s'allongea sur elle pour l'embrasser, la langue profondément dans sa bouche. Il fit tomber les bretelles de la robe, dégrafa avec une main d'expert le soutient gorge et suça goulument un téton puis l'autre, malaxant avec passion les seins dressés qui s'offraient à lui. Après quoi il la retourna d'un coup sec pour la mettre à quatre pattes, releva les pans léger de la robe au dessus des fesses et écartant le string sur le côté, commença à lécher Véra avec avidité. Excitant le clitoris, il entra un doigt puis deux dans l'orifice ouvert et luisant d'excitation, sans aucune difficulté grâce à la mouille que produisait le sexe offert. Il chatouilla le petit trou de Véra qui se cambra encore plus et se mit à gémir doucement face à une telle caresse si agréable entre ses fesses.

Quand il l'eut bien complètement chauffée, elle se retourna et baissa son pantalon et son boxer pour saisir la verge tumescente, elle le branla quelque coups secs et actifs, il gémit à son tour, encore plus quand elle le prit en bouche et entreprit de le sucer goulument. Avec sa main, elle continua de s'exciter en caressant son clitoris. Elle le voulait en elle, il le savait. Si bien que quand vint le moment où il se décida à passer derrière elle, il s'arrêta un instant et contempla le cul offert et la chatte désirante qui l'attendait. Elle savait qu'il faisait exprès de la laisser se languir de lui et elle le détestait autant qu'elle aimait ça. Finalement il arriva plus proche d'elle et fit entrer d'un coup d'un seul, la verge dans son vagin. Elle poussa un gémissement de satisfaction et il commença à la prendre en levrette ainsi, sur le bord du lit.

Cette situation était jouissive pour elle qui adorait le sentir derrière, limant sa vulve trempée pour leur plus grand plaisir à tous les deux. Lui appréciait particulièrement la vue de son arrière train qui claquait sur ses cuisses et son sexe entrant et sortant en elle, au gré de ses gémissements. Il ne put s'empêcher de jouir une première fois en elle, laissant la trace dégoulinante du sperme chaud à l'orée du vagin quand il se retira d'elle. Après une petite pause où elle ne redescendit pas, ils reprirent de plus belle et c'est elle qui explosa en le chevauchant. Ils prient une douche durant laquelle, il la sodomisa doucement pendant qu'elle se caressait jusqu'à jouir une seconde fois. Ils recommencèrent ensuite dans le lit avant de s'endormir, en missionnaire et quand il sentit que sa seconde éjaculation venait, il se déversa sur ses seins pendant qu'elle souriait de contentement.

...

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