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Enceinte et plus femme que jamais (2)

Malgré sa grossesse la libido de Clarisse ne faiblit pas, surtout depuis qu'elle sait qu'elle peut faire l'amour et jouir sans risque. Ses séances de masturbation sont régulières, elle le fait partout et souvent, d'autant qu'elle passe du temps toute seule. Dans le bain, sous la douche, dans sa chambre, sur le canapé, dehors sur la terrasse, sur le fauteuil dans son bureau et même dans la cuisine ou dans la pièce à linge à côté de la machine à laver. Il faut dire que tout l'excite qu'elle est tout le temps excitée et que ses nouveaux jouets lui permettent de donner libre court à la satisfaction de ses toutes ses envies. Elle s'emplit de tout, dans chacun de ses orifices qui réclament désormais d'être comblés dès que possible, elle ne peut se refuser ce plaisir. Elle sait que plus elle jouit, mieux c'est pour son bébé qui ressent le bien être maternel, à chacune de ses séances de plaisir. 

Elle reçoit régulièrement la visite de ses amies ou de sa belle mère, il est arrivé qu'elle se sente frustrée lorsque leur présence un peu trop longue à son goût, l'empêche de se masturber à sa guise. Plusieurs fois elle s'est permis de prétexter un peu de fatigue, afin que ses hôtes un peu encombrantes par moment, se décident à partir en la laissant seule désormais libre de s'adonner sans contrainte à ses pulsions sexuelles. Elle aurait aimé en parler à sa meilleure amie Sabine, mais Sabine déjà maman d'un petit garçon semblait une mère si parfaite, ayant vécu une grossesse sans tracas, ne pouvait pas avoir connu cela et ne comprendrait pas ce qu'elle jugerait comme une déviance peut être dangereuse pour l'enfant. Clarisse avait renoncé à lui confier son nouveau penchant, même si elle savait que cela ne présentait aucun risque bien au contraire.

Marc son mari désormais au courant bien malgré lui des nouvelles envies lubriques de sa femme enceinte, tente autant que possible de la satisfaire sexuellement malgré ses absences. Plusieurs fois par semaine, ils font l'amour pour s'assouvir leurs envies car lui aussi très facilement excité, a vue son désir augmenter à la vue du petit bidon de sa femme. Clarisse est donc prise régulièrement par son mari, dans toutes les positions les plus agréables pour elle et tant que la levrette lui est encore possible, elle profite pleinement de se faire pénétrer à quatre pattes son petit ventre dans le vide. Certaines fois, il la comble particulièrement en pénétrant en même temps son anus avec son pouce, pendant qu'il se démène dans son vagin. Cela l'excite beaucoup lui, puisqu'elle ne peut s'empêcher quand il le fait, de gémir honteusement en lui disant qu'elle "aime ça" quand il la touche de ce côté.

Un vendredi après midi, elle se rend à la piscine pour une séance réservée aux femmes enceintes. Elle rend naturellement dans les vestiaires pour se changer,  la piscine n'étant pas ouverte au public à ce créneau, les cabines sont libres pour la plupart. Elle en choisit une, sans faire attention au fait que celle d'à côté est également occupée.  Elle commence à se changer mais son attention est rapidement captée par un bruit particulier et un sentiment étrange s'empare d'elle. Le bruit vient de la cabine d'à côté et semble quelque peu étouffé. Curieuse elle décide de coller son oreille à la paroi relativement peu épaisse, pour mieux entendre ce qu'il s'y passe. Sa surprise est immense quand elle se rend rapidement compte que quelqu'un respire de manière particulièrement rapide et spécifique à côté d'elle, c'est évidement que quelqu'un est en train de prendre du plaisir dans la cabine voisine. 

Pourtant aucun homme ne peut être présent à la piscine à ce moment, ni même aucune autre femme qu'une femme enceinte. Une autre participante de la séance de piscine, serait donc en train de se caresser dans les vestiaires avant d'aller se détendre dans l'eau. Personne ne peut le voir, mais les joues de Clarisse rosissent tellement elle se sent honteuse d'entendre cette autre femme se toucher si proche d'elle. Comme paralysée elle ne peut pourtant pas bouger et son oreille reste collée à la paroi, elle est aussi gênée qu'excitée d'être le témoin indirect de cette scène. Dans la cabine d'à côté, rien ne semble déranger la coquine qui s'adonne au plaisir solitaire. De légers bruits de mouille parviennent jusqu'aux oreilles de Clarisse qui pense que la chatte de la coupable, doit être particulière lubrifiée à cet instant. Tout à coup, le mouvement accélère et d'imperceptibles gémissements de plaisir laisse penser que l'orgasme arrive pour son indécente voisine.

Clarisse saisit ses affaires en tout hâte et sort de la cabine pour rejoindre la piscine. La plupart des participantes sont déjà arrivées et dans l'eau, elle entre dans le bassin elle aussi tout en scrutant l'entrée pour voir qui arrive et tenter d'apercevoir le visage de celle qui se masturbait à côté d'elle il y a encore un instant. Elle barbote, échange quelques mots avec les autres quand arrive la coupable, une jolie rousse toute en finesse au petit bidon bien arrondi. Elle l'observe discrètement en essayant de ne pas trahir sa curiosité. La séance se passe, les exercices se succèdent et Clarisse garde un oeil sur la jeune femme rousse qui ne semble pas se douter qu'elle a pu être entendue quelques minutes auparavant, par sa voisine de cabine. C'est par un curieux hasard et parce que les choses sont parfois bien faites, à l'occasion d'un exercice en duo, que le moniteur désigne la rouquine comme partenaire de Clarisse.

Personne ne semble remarquer la gêne qui s'empare de la future maman dont le teint vire au rosé. Très vite elle se ravise quand la jeune femme s'approche d'elle et se présente, - "Bonjour, je m'appelle Célia et toi ?", Clarisse bafouille un peu et parvient à se présenter à son tour, se détendant finalement devant le sourire charmant de la jeune femme. Le moniteur leur propose un exercice consistant à faire travailler les jambes puis à tonifier la poitrine. Clarisse en profite pour apprécier les formes de Célia dont les seins semblent déjà bien fermes. Sans rien dire, cette dernière a bien remarqué les regards insistants de Clarisse depuis qu'elles travaillent ensemble sur l'exercice, elle fait mine de rien. Mais lorsque le moniteur leur propose de faire une activité de relaxation, l'atmosphère devient propice à la discussion et Célia ose demander à Clarisse pourquoi elle la regarde ainsi depuis un moment.

Clarisse ne sait pas où se mettre, elle commence par se défendre en refusant d'admettre qu'elle la regardait autrement que normalement. Mais devant le rire expressif de la jeune, elle doit bien reconnaitre qu'en effet, elle l'observait avec un regard particulier. Prise de cour, elle lui raconte avec maladresse qu'elle croit l'avoir entendue se donner du plaisir lorsqu'elle était dans sa cabine. La première réaction de Célia est une réaction gênée à son tour, mais devant le fait accompli elle doit bien admettre elle aussi qu'elle se donnait réellement du plaisir au moment de se changer. Mais finalement et à la grande surprise de Clarisse, plutôt que de changer rapidement de sujet, Célia embraye dessus et lui confie que ce n'est pas la première fois ces derniers temps, qu'elle ressent une irrépressible envie de se caresser dans des endroits parfois insolites.

Elle lui raconte que son sexe la travaille beaucoup depuis qu'elle est enceinte et que sa libido déjà bien développée, redouble d'activité ces derniers temps. Que malgré les rapports réguliers avec son ami, elle ne peut s'empêcher de se toucher quand elle est seule. - "Dans la cabine tout à l'heure, quand j'ai vu mon sexe nu, mon gros ventre et mes seins gonflés, je n'ai pas pu résister ma main est descendue tout de suite et je suis allé jusqu'à la jouissance".  Clarisse n'en revient pas, elle oscille entre la gêne et l'excitation. Elle se dit que cette jeune femme n'a pas de honte à parler de sa sexualité, mais est rassurée de voir qu'elle n'est pas la seule à avoir envie de sexe durant sa grossesse. Elle lui confie alors qu'elle partage aussi ce penchant mais qu'elle n'avait jamais pensé à oser se masturber dans un lieu comme la piscine. Célia la regarde avec un sourire complice - "Tu devrais essayer, c'est vraiment très excitant !".

C'est ainsi que Célia n'est pas étonné qu'après leur séance de piscine, alors qu'elles trainent ensemble en cabine et que nombre de femmes sont déjà parties, elle entends Clarisse se caresser à côté d'elle. Trop excitée par leur discussion et intriguée par le conseil de sa nouvelle amie, Clarisse a profité de la relative intimité de sa cabine pour se laisser aller au plaisir la main dans sa culotte, un doigt sur son clitoris fermement gonflé, elle se caresse jusqu'à l'orgasme qu'elle tente d'étouffer mais qui est néanmoins perceptible pour sa complice d'à côté qui n'a pas résisté elle aussi, à la tentation de se refaire jouir une seconde fois dans ce lieu improbable et excitant. Avant de quitter la piscine, elles échangent toutes les deux leur numéro de téléphone et se promettent d'aller boire un verre ensemble un de ces jours, pour faire plus ample connaissance...

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