A l'approche des partiels, Cécile se rend plus souvent à la bibliothèque universitaire afin de réviser ses cours. Généralement elle relit ses notes ou se plonge dans la lecture d'ouvrages spécialisés. Sociologie, statistiques, études comportementales, psychologie, tout y passe. Mais ce jour là, elle ne parvint pas à se concentrer totalement sur son travail...
En face d'elle, assit à une table et feuilletant un ouvrage de géographie, un beau jeune homme brun aux traits fins, n'a pas remarqué qu'elle l'observe avec intérêt. C'est étrange, la vue de ce garçon lui procure un sentiment inconnu, comme une forme d'excitation nouvelle. Elle sent son bas ventre se contracter, une douce chaleur l'envahir, alors même qu'elle ne s'est pas touchée.
Elle remue sur sa chaise et ne sait pas comment se positionner. Elle tente de se concentrer sur sa propre lecture mais n'y parvient pas vraiment, et son regard se porte à nouveau sur le garçon en face. Elle fixe son nez, sa bouche, tente d'attraper son regard mais n'y parvient pas. De temps à autre, son regard se porte sur son entre jambe, dont elle essaie d'imaginer le sexe.
Pour la première fois, la vision d'un étudiant à la BU provoque chez elle des idées lubriques. Elle imagine qu'il la prend entre les rayonnages de livres, alors qu'ils sont seuls dans le bâtiment. Situation peu probable mais très excitante pour elle, sa petite culotte est toute mouillée, elle n'en peut déjà plus de désir. Tout à coup le jeune homme se lève, il repose son ouvrage et quitte la bibliothèque.
Cécile est chamboulée, elle reste plusieures minutes assise à ne rien faire, le regard vide, l'esprit ailleurs. Dans sa culotte, le désir bouillonne toujours. Elle serre ses cuisses et tente de réprimer cette envie mais n'y parvient pas. Elle sent ses mamelons durcir sous son haut et la chaleur l'envahir. Une nouvelle idée traverse son esprit, les toilettes de la bibliothèque ne sont pas très loin et elle envisage d'aller y satisfaire un besoin naturel.
Elle rassemble ses affaires et se dirige vers les toilettes, plus elle s'approche plus son excitation grandit. Elle entre dans une cabine, dépose son sac par terre, se débarrasse de son manteau et rabat la lunette de la cuvette. Elle s’assoit et reste un moment sans bouger, l'envie de se masturber est tellement grande qu'elle sait qu'elle ne peut plus reculer. Elle baisse son pantalon et entreprend de s'en débarrasser pour être plus à l'aise.
Elle se retrouve ainsi assise sur les toilettes et sa main ne tarde pas à rejoindre sa culotte, où elle accède au sexe trempé qu'elle connait si bien. Elle écarte ses lèvres et fait rouler son clitoris entre ses doigts, déjà son autre main soulève son haut pour faire émerger sa poitrine. Elle réussit à retirer aussi le soutient gorge qu'elle jette par terre au même endroit que son pantalon, ainsi elle peut caresser et pincer ses tétons dressés de désir.
Sa respiration s'accélère, de temps à autre elle insère un doigt dans son vagin humide puis revient exciter son clitoris. Elle sait parfaitement comment se donner du plaisir rapidement, son sexe est bien ferme, gorgé d'excitation. Elle ne tarde pas à se tortiller dans tous les sens, lorsque le plaisir l'emporte, submergée par un orgasme libérateur. Elle étouffe les gémissements qu'elle aimerait pourtant laisser sortir et reprend calmement ses esprits.
Elle ressort de la cabine des toilettes après avoir tenté de se redonner un peu d'allure, elle quitte les lieux le teint encore rosé de son extase solitaire. En sortant, elle tombe nez à nez avec cet étudiant qui lui avait inspiré cet instant de douceur extatique, leurs regards se croisent et il perçoit la gêne de la jeune femme, elle file sans demander son reste ne sachant trop si elle espère vraiment le recroiser une autre fois.
Pour la première fois, la vision d'un étudiant à la BU provoque chez elle des idées lubriques. Elle imagine qu'il la prend entre les rayonnages de livres, alors qu'ils sont seuls dans le bâtiment. Situation peu probable mais très excitante pour elle, sa petite culotte est toute mouillée, elle n'en peut déjà plus de désir. Tout à coup le jeune homme se lève, il repose son ouvrage et quitte la bibliothèque.
Cécile est chamboulée, elle reste plusieures minutes assise à ne rien faire, le regard vide, l'esprit ailleurs. Dans sa culotte, le désir bouillonne toujours. Elle serre ses cuisses et tente de réprimer cette envie mais n'y parvient pas. Elle sent ses mamelons durcir sous son haut et la chaleur l'envahir. Une nouvelle idée traverse son esprit, les toilettes de la bibliothèque ne sont pas très loin et elle envisage d'aller y satisfaire un besoin naturel.
Elle rassemble ses affaires et se dirige vers les toilettes, plus elle s'approche plus son excitation grandit. Elle entre dans une cabine, dépose son sac par terre, se débarrasse de son manteau et rabat la lunette de la cuvette. Elle s’assoit et reste un moment sans bouger, l'envie de se masturber est tellement grande qu'elle sait qu'elle ne peut plus reculer. Elle baisse son pantalon et entreprend de s'en débarrasser pour être plus à l'aise.
Elle se retrouve ainsi assise sur les toilettes et sa main ne tarde pas à rejoindre sa culotte, où elle accède au sexe trempé qu'elle connait si bien. Elle écarte ses lèvres et fait rouler son clitoris entre ses doigts, déjà son autre main soulève son haut pour faire émerger sa poitrine. Elle réussit à retirer aussi le soutient gorge qu'elle jette par terre au même endroit que son pantalon, ainsi elle peut caresser et pincer ses tétons dressés de désir.
Sa respiration s'accélère, de temps à autre elle insère un doigt dans son vagin humide puis revient exciter son clitoris. Elle sait parfaitement comment se donner du plaisir rapidement, son sexe est bien ferme, gorgé d'excitation. Elle ne tarde pas à se tortiller dans tous les sens, lorsque le plaisir l'emporte, submergée par un orgasme libérateur. Elle étouffe les gémissements qu'elle aimerait pourtant laisser sortir et reprend calmement ses esprits.
Elle ressort de la cabine des toilettes après avoir tenté de se redonner un peu d'allure, elle quitte les lieux le teint encore rosé de son extase solitaire. En sortant, elle tombe nez à nez avec cet étudiant qui lui avait inspiré cet instant de douceur extatique, leurs regards se croisent et il perçoit la gêne de la jeune femme, elle file sans demander son reste ne sachant trop si elle espère vraiment le recroiser une autre fois.
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