Un jour de bureau comme les autres, Dina apprend qu'un jeune stagiaire va venir renforcer son équipe de travail. D'un naturel curieuse, elle est impatiente de rencontrer ce nouveau venu. Lorsque sa directrice lui présente Paul, la vingtaine, d'un naturel assez timide mais plutôt mignon, la température monte dans la culotte de Dina rattrapée par sa gourmandise sexuelle. Plusieurs jours passent sans que Dina et Paul n'aient vraiment l'occasion de discuter, ce n'est que le troisième jour que la jeune femme s'aventure à lui poser quelques questions.
Elle apprend qu'il suit des études de gestion et qu'il est en stage dans son service pour trois mois, elle le trouve charmant avec son petit coté réservé, si bien que lorsqu'elle lui parle, sa culotte recommence à mouiller. Essayant de se maitriser, elle ne peut s'empêcher de penser à lui tout l'après midi et au fur et à mesure que la journée avance, ses pensées se font de plus en plus coquines à l'égard du jeune homme qui ne se doute de rien. Lorsqu'elle rentre chez elle ensuite, elle pose son sac et va s'allonger sur son lit toujours plongée dans ses songes bouillants.
C'est alors qu'elle est rapidement prise d'une furieuse envie de se masturber en pensant toujours à Paul. Seule dans son appartement, libérée de toute pudeur, elle dégrafe son pantalon et laisse glisser sa main dans sa culotte pour trouver un sexe déjà brulant et trempé. Ses doigts glissent entre ses lèvres et trouvent sans difficulté le clitoris qui ne demande qu'à être excité, ce qu'elle commence à faire d'une main experte en le faisant rouler doucement, puis dans un mouvement de plus en plus rapide lui tirant les premiers gémissements étouffés.
Prise dans son imagination érotique, elle imagine que Paul lui lèche ce clitoris qui lui fait tant de bien. Le plaisir monte et elle ressent le besoin de se sentir comblée, ayant retiré son pantalon et sa culotte dans le même temps, elle commence à insérer un puis deux doigts dans son intimité, dans sa tête Paul commence à la pénétrer. De temps à autre, elle ressort un doigt plein de mouille qu'elle lèche en pensant qu'elle suce le sexe dur du jeune homme. Finalement, elle se pénètre avec ses doigts de manière vigoureuse quand son autre main recommence à masturber son clitoris.
En peu de temps le plaisir l'emporte et elle se laisse aller, à une heure où ses voisins ne sont pour la plupart pas encore rentrés du travail, elle jouit sans retenue de son propre plaisir, en gémissant le prénom de "Paul" comme s'il était en train de la prendre sauvagement dans un dernier élan avant sa propre jouissance. L'orgasme passé, elle reste allongée un moment, perdue dans les dernières érotiques de ce moment de plaisir presque partagé.
Les jours suivants, Dina doit faire face à des matins agités. Ses réveils, à la pensée du jeune stagiaire, l'invitent à renouveler l'expérience de ses divagations solitaires. Avant de se lever, encore dans son lit, elle se masturbe pour faire retomber la tension qu'il y a en elle. Rien d'extravagant pour la jeune femme qui s'octroie naturellement et régulièrement des petites séances de plaisir le matin, pour mieux commencer ses journées. La pensée de Paul toutefois, augmente fortement son excitation dans ces instants à la sortie du sommeil, où elle s'adonne seule au plaisir sexuel.
Il ne lui faut généralement pas longtemps pour succomber à l'orgasme qui la submerge. Pourtant la présence de Paul a créé chez elle une sorte de désir permanent, si bien qu'en arrivant au bureau, elle ressent à nouveau l'envie de satisfaire ce besoin naturel de femme. Quelques jours plus tard donc, n'ayant pas manqué sa petite séance du matin, elle ne put s'empêcher une fois au bureau, de ressentir l'envie pressante de se masturber à nouveau en pansant à Paul.
Sans réfléchir à autre chose, elle dut répondre à l'appel des toilettes qui lui permettrait d'échapper aux regards indiscrets et de satisfaire tant que possible, ce besoin impérieux de se caresser. Assise sur la cuvette fermée, le pantalon et le string baissé, la main remuant son clitoris et elle répondit rapidement à ce besoin, tentant d'atteindre rapidement un orgasme salvateur. Celui-ci ne tarda pas, elle souffla et jouit de nouveau en étouffant difficilement un gémissement de plaisir.
Sa gêne fut grande lorsqu'au sortir des toilettes, elle tomba nez à nez avec Paul qui se lavait les mains. Le malaise était palpable entre eux, elle ne doutait plus qu'il avait du l'entendre gémir derrière la porte sans incertitudes sur ce qu'elles faisait, de toute la journée elle n'osa plus lui adresser la parole ni même le regarder, toute honteuse qu'elle était de s'être ainsi dévoilée lubrique sur son lieu de travail.
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