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Torrides vacances (1)

Sandrine et Jérémy sont invités pour les vacances dans la petite maison en bord de mer, de Pierre et Marie. Après quelques heures de route, les voilà qui arrivent à destination, vers la fin d'après midi. Au bout d'un chemin sableux, se trouve la maison de vacances de leurs amis. Isolée des zones touristiques, la petite habitation borde une plage sauvage, que Pierre et Marie n'ont pas tardé à s'approprier. Ils accueillent chaleureusement Sandrine et Jérémy et leur font visiter les lieux. 

La maisonnette se compose d'un petit salon et d'une cuisine ouverte, aménagée avec un bar. Sur droite, un corridor mène à une première chambre et à la salle de bain. La deuxième chambre se trouve au dessus du salon, on y accède par un petit escalier en bois. C'est là que Sandrine et Jérémy passeraient leur séjour. Pressés de s'installer, ils déchargent leurs bagages avec l'aide de Pierre, puis les quatre amis se retrouvent au salon pour prendre des nouvelles de chacun. La soirée trouve son rythme de croisière, ils sont heureux de se retrouver. Vers 23h, la fatigue se fait sentir et ils décident d'aller se coucher pour se reposer et profiter du lendemain.

Mais Sandrine éprouve toujours quelques difficultés d'adaptation, lorsqu'elle change d'endroit pour dormir. Après plusieurs dizaines de minutes à se tourner et se retourner dans son lit, elle commence à ressentir une envie pressante d'aller au petit coin. Elle se dit qu'après avoir satisfait ce besoin, elle arrivera probablement à s'endormir. Vêtue d'un débardeur et d'un petit short, elle s'extirpe doucement du lit, sort de la chambre et commence à descendre l'escalier en bois qui craque légèrement sous ses pas. Elle traverse le salon et s'engage dans le corridor, c'est alors qu'un bruit significatif, attire son attention. Un respiration saccadée et des petits gémissements irréguliers, elle s'immobilise et tend l'oreille, mais lorsqu'elle comprend que Pierre et Marie sont probablement en train de faire l'amour, elle s'empresse de rejoindre la salle de bain.
"Dans la chambre, Marie est assise sur le lit, le dos contre un oreiller et les jambes écartées. Elle tient fermement la tête de Pierre qui lui butine goulument la vulve, en lui tenant les cuisses bien ouvertes. Il lèche de manière appuyée le clitoris de sa belle, il sait qu'elle adore ça, elle lui faire savoir par des gémissements de plus en plus rapprochés."
Dans la salle de bain, Sandrine est assise sur la cuvette des toilettes, un peu honteuse d'avoir entendu ses amis, mais terriblement excitée à la fois. Elle ne peut s'empêcher d'écouter et d'essayer de saisir des bruits en provenance de la chambre d'à côté, mais elle n'entend plus rien. Elle suppose qu'ils ont terminé, s'essuie, se lève et s'apprête à remonter en haut. Avec un brin de déception mais un dernier espoir, elle s'accroupit près du mur, colle son oreille et écoute. Ce qu'elle entend, la rend tout chose. Les mêmes sons que dans le couloir, la respiration saccadée, les petits gémissements de plaisir, auxquels s'ajoutent le tapottement d'un lit qui frappe doucement mais régulièrement contre un mur.

Naturellement, sous l'effet de l'excitation, la main droite de Sandrine glisse sous son débardeur et vient trouver son sein gauche qu'elle presse doucement, pendant que son autre main tente d'accèder à son petit short et trouve le chemin de son sexe, qu'elle a pris soin d'épiler pour les vacances. Elle passe un doigt entre ses lèvres, sa chatte est brûlante et trempée. Elle trouve que c'est très agréable de caresser ce petit fruit, doux et juteux à la fois. Dans son débardeur, deux doigts ont saisi son téton qui se durcit sous l'hommage. Sandrine se sait très sensible à cet endroit, ce qui provoque souvent une réaction en chaine. Lorsque ses seins pointent, elle sent que sa petite chose mouille abondamment. Cela la met souvent mal à l'aise, lorsqu'elle se trouve au bureau ou au supermarché.
"Marie n'a pas changé de position, mais Pierre la pénètre désormais en missionnaire. Pour assurer l'efficacité de son geste, il n'hésite pas à lui saisir les jambes au dessus des genoux et à les relever quasiment au niveau de sa tête. La main gauche de Marie quitte le dos de Pierre et descend masturber son clitoris. Ses gémissements sont plus appuyés et elle n'hésite plus à lâcher quelques râles de plaisir."
De l'autre côté du mur, Sandrine s'est arrêtée, saisie par la honte. C'est très rare qu'elle se masturbe, encore moins en écoutant ses amis faire l'amour. Mais l'excitation est très forte et les gémissements de Marie l'invitent à poursuivre. Sa main retrouve le chemin de son short et ses doigts glissent désormais autour de son clitoris qui se gonfle de désir. Sa respiration s'accélère, en même temps que son geste se précise. Quand elle veut que le plaisir monte elle insiste plus fermement, et de temps à autre elle ralentit et se contente d'un mouvement circulaire autour du capuchon, pour celui-ci dure un peu plus.

Alors qu'elle sent que le mouvement s'accélère dans la chambre d'à côté, elle n'hésite plus à insrérer ses doigts dans son vagin en effectuant un rapide va et vient. Très vite, la jouissance la submerge, elle se retient pour ne pas crier, elle s'en voudrait trop que Pierre et Marie découvrent qu'elle était là, à les écouter. Elle se relève et se presse pour remonter dans le couloir. Mais alors qu'elle passe devant la porte de la chambre du couple, celle-ci s'ouvre et Marie en sort essoufflée et ébouriffée. Des odeurs de sexe parviennent jusqu'aux narines de Sandrine et viennent dissimuler ses propres effluves personnelles, vestiges d'un plaisir partagé. L'air de rien, Marie lui demande si ça va ? Elle lui répond que oui, qu'elle était descendu assouvir un besoin pressant... Marie lui sourit et se dirige vers la salle de bain. Gênée, Sandrine remonte se coucher. Troublée mais apaisée, elle s'endort tranquillement.

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