Depuis leur récente rencontre, Florence avait remarqué l'insistance gênée avec laquelle l'observait la jeune femme qu'elle accueillait dans sa maison de campagne. Loin d'en être elle même déstabilisée, elle s'en trouva plutôt amusée et compris assez vite que c'était son naturel qui intriguait Pauline. Son amusement fut à son comble, lorsqu'un matin qu'elle était debout la première, elle passa à côté de la chambre de cette dernière, une pile de linge propre dans les bras. Alors qu'elle allait passer son chemin, elle fut surprise d'entendre gémir doucement à travers la porte et s'interrompit pour écouter.
Pauline qui pensait encore être seule éveillée, ne se doutait pas de la présence de son hôte qui n'allait plus rater une miette de son plaisir. S'étant débarrassé de tout morceau de tissus superflu pouvant limiter à l'accès à son sexe, Pauline les jambes écartées sur son lit, faisait rouler son clitoris sous un doigt expert. Elle se masturbait le plus naturellement du monde, à la recherche d'un orgasme qui ne tarderait pas à venir sous l'effet de son énergique application. Le sexe de Florence mouillait abondamment dans le léger pantalon en toile qu'elle portait ce jour là, elle sentit son humidité ruisseler doucement le long de sa jambe.
Dans la chambre le plaisir de Pauline allait l'emporter, un gage nécessaire pour débuter une bonne journée. Elle jouit agréablement en étouffant toute soufllante, un gémissement final, "aahaho". Pour Florence, il fallait disparaitre assez vite pour ne pas alerter la jeune femme de sa présence mais plutôt que de foncer vers sa destination d'origine, elle préféra revenir sur ses pas. Elle patienta quelques minutes et revint avec son linge, c'est alors qu'elle tomba cette fois nez à nez avec Pauline qui sortait de sa chambre, encore rougissante de son petit effort solitaire. Florence lui sourit cette fois un peu mal à l'aise, elle lui glissa un "bonjour, bien dormi ?" et devant le malaise de Pauline, s'enfuit vers sa propre chambre.
Curieusement, elle n'osa pas se donner du plaisir à son tour préférant repousser à plus tard, le moment de sa propre satisfaction. Pour le reste, la journée de déroula relativement normalement, alors que dans l'esprit des deux femmes les réflexions s'entrechoquaient. Pauline se demandait si Florence l'avait réellement entendu cette fois-ci et la certitude s'installa en elle, passé la gêne occasionnée par leur rencontre fortuite dans le couloir, le désir s'empara à nouveau de Florence qui n'eut plus qu'une obsession, celle de se caresser à l'idée du plaisir de Pauline, en souvenir de ses propres émois d'adolescente.
Finalement, elle ne pretexta rien d'autre qu'une petite faiblesse en début d'après-midi pour aller se reposer en faisant une sieste, ce qui ne dupa en rien Pauline sur ses véritables intentions. La jeune femme restée seule un moment dans le salon n'en fut pas choqué pour autant, lorsqu'elle pensa à ses propres égarements de femme. A son tour, elle fut prise d'une envie d'entendre à nouveau Florence se donner du plaisir et se faufila à proximité de la chambre de cette dernière. Sa surprise fut grande, quand elle aperçut la porte restée entrouverte d'où elle pouvait entrapercevoir Florence, sans se faire remarquer.
La femme était là, allongée sur son lit encore en sous vêtements, mais sa main déjà, caressait son sexe à travers le tissus. A ses côtés, un objet que Pauline n'eut pas de mal à reconnaitre comme étant un sex-toy vibrant. Son intérêt redoubla à la vue de cet objet qu'elle n'avait jamais imaginé qu'à travers les reproductions dans des publicités. Elle resta ainsi immobile, toute la durée de la séance de plaisir de Florence. Du dessus de la culotte humide, la main vint s'activer à l'intérieur de la culotte, le vibreur joua lui aussi sur le tissus, avant de rejoindre sa destination et faisant son office, alterna entre long passages sur le clitoris et pénétration rapides à l'intérieur du vagin de Florence.
Pour une fois elle se retint d'être trop bruyante mais le plaisir la parcouru tout de même, la percutant finalement dans tout son corps, à travers la vibration du jouet sur son sexe. C'est alors que Florence eut une idée, le reste de l'après midi elle nettoya scrupuleusement l'objet et alla le déposer en évidence quelque part dans la salle de bain. Lorsqu'elle croisa Pauline le soir, après que celle-ci eut pu en secret découvrir le magique intérêt de cet incroyable outil à l'usage des femmes, sans le savoir Florence n'y alla pas par quatre chemins, elle regarda Pauline en souriant malicieusement et lui dit - "Tu verras quand tu iras prendre ta douche, ne soit pas gênée, je t'ai laissé une petite surprise sur le rebord de la baignoire !".
Pauline qui pensait encore être seule éveillée, ne se doutait pas de la présence de son hôte qui n'allait plus rater une miette de son plaisir. S'étant débarrassé de tout morceau de tissus superflu pouvant limiter à l'accès à son sexe, Pauline les jambes écartées sur son lit, faisait rouler son clitoris sous un doigt expert. Elle se masturbait le plus naturellement du monde, à la recherche d'un orgasme qui ne tarderait pas à venir sous l'effet de son énergique application. Le sexe de Florence mouillait abondamment dans le léger pantalon en toile qu'elle portait ce jour là, elle sentit son humidité ruisseler doucement le long de sa jambe.
Dans la chambre le plaisir de Pauline allait l'emporter, un gage nécessaire pour débuter une bonne journée. Elle jouit agréablement en étouffant toute soufllante, un gémissement final, "aahaho". Pour Florence, il fallait disparaitre assez vite pour ne pas alerter la jeune femme de sa présence mais plutôt que de foncer vers sa destination d'origine, elle préféra revenir sur ses pas. Elle patienta quelques minutes et revint avec son linge, c'est alors qu'elle tomba cette fois nez à nez avec Pauline qui sortait de sa chambre, encore rougissante de son petit effort solitaire. Florence lui sourit cette fois un peu mal à l'aise, elle lui glissa un "bonjour, bien dormi ?" et devant le malaise de Pauline, s'enfuit vers sa propre chambre.
Curieusement, elle n'osa pas se donner du plaisir à son tour préférant repousser à plus tard, le moment de sa propre satisfaction. Pour le reste, la journée de déroula relativement normalement, alors que dans l'esprit des deux femmes les réflexions s'entrechoquaient. Pauline se demandait si Florence l'avait réellement entendu cette fois-ci et la certitude s'installa en elle, passé la gêne occasionnée par leur rencontre fortuite dans le couloir, le désir s'empara à nouveau de Florence qui n'eut plus qu'une obsession, celle de se caresser à l'idée du plaisir de Pauline, en souvenir de ses propres émois d'adolescente.
Finalement, elle ne pretexta rien d'autre qu'une petite faiblesse en début d'après-midi pour aller se reposer en faisant une sieste, ce qui ne dupa en rien Pauline sur ses véritables intentions. La jeune femme restée seule un moment dans le salon n'en fut pas choqué pour autant, lorsqu'elle pensa à ses propres égarements de femme. A son tour, elle fut prise d'une envie d'entendre à nouveau Florence se donner du plaisir et se faufila à proximité de la chambre de cette dernière. Sa surprise fut grande, quand elle aperçut la porte restée entrouverte d'où elle pouvait entrapercevoir Florence, sans se faire remarquer.
La femme était là, allongée sur son lit encore en sous vêtements, mais sa main déjà, caressait son sexe à travers le tissus. A ses côtés, un objet que Pauline n'eut pas de mal à reconnaitre comme étant un sex-toy vibrant. Son intérêt redoubla à la vue de cet objet qu'elle n'avait jamais imaginé qu'à travers les reproductions dans des publicités. Elle resta ainsi immobile, toute la durée de la séance de plaisir de Florence. Du dessus de la culotte humide, la main vint s'activer à l'intérieur de la culotte, le vibreur joua lui aussi sur le tissus, avant de rejoindre sa destination et faisant son office, alterna entre long passages sur le clitoris et pénétration rapides à l'intérieur du vagin de Florence.
Pour une fois elle se retint d'être trop bruyante mais le plaisir la parcouru tout de même, la percutant finalement dans tout son corps, à travers la vibration du jouet sur son sexe. C'est alors que Florence eut une idée, le reste de l'après midi elle nettoya scrupuleusement l'objet et alla le déposer en évidence quelque part dans la salle de bain. Lorsqu'elle croisa Pauline le soir, après que celle-ci eut pu en secret découvrir le magique intérêt de cet incroyable outil à l'usage des femmes, sans le savoir Florence n'y alla pas par quatre chemins, elle regarda Pauline en souriant malicieusement et lui dit - "Tu verras quand tu iras prendre ta douche, ne soit pas gênée, je t'ai laissé une petite surprise sur le rebord de la baignoire !".
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