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La mécanique du plaisir (3)

Ils longent un couloir de briques qui les mène jusqu'à une vieille porte rouillée. Derrière, ils découvrent un immense hangar industriel avec au centre, une palette et un matelas posé dessus. Deux autres jeunes hommes attendent là. Ils discutent quelques minutes. Forts charmants, ils font tout pour la mettre à l'aise. Ils lui posent des questions :

"C'est la première fois avec plusieurs hommes ?

Elle répond par un "oui" plutôt timide. 

Ils se mettent à rire : 

"Tu vas voir tu vas t'éclater ! Les femmes qui y goûtent, ne peuvent plus s'en passer". 

Ils poursuivent leurs investigations 

:"Il ne te fait pas jouir ton copain ?

Elle se laissa un peu aller : 

"Si, mais toujours tendrement, comme mon mec quoi." - "J'ai envie de ressentir le plaisir d'être la chose, la petite salope de plusieurs hommes

Sensiblement échauffé, le garçon assis à côté d'elle laisse trainer un peu ses mains. Il l'embrasse doucement dans le cou. Elle sent son corps se chauffer. Avec sa main, le jeune homme caresse un peu ses cuisses, elle ne fait aucun geste pour le repousser, elle se surprend même naturellement à entrouvrir les cuisses pour laisser passer les doigts. Très vite, alors qu'une main malaxe habilement son sein gauche à travers sa robe, les doigts de l'autre passent et repassent avec douceur sur les bords de son petits string. Elle sent sa petite chatte juter d'excitation à l'intérieur, elle se languit horriblement qu'il passe cette frontière et commence à trifouiller dans son sexe. Lui le sait et repousse volontairement ce moment. Enfin, il se décide. Ecartant avec ses doigts le string sur le côté, il pénétre légèrement un doigt pour l'enduire de mouille. Un frisson la parcourt, mais déjà le doigt roule sur le clitoris. Sa respiration s'accélére rapidement mais sa bouche inoccupée ne tarde pas à engloutir une belle queue qui s'approche d'elle. Rarement de sa vie de femme, elle n'a eu autant envie de sucer une verge. 

Le taquineur à ses côté ne tarde pas à se pencher en avant pour venir la déguster. Il s'y prend très bien, sa langue change plusieurs fois de mouvement, tantôt elle se plaque sur son clitoris, le léchant avec force, tantôt la vitesse s'accélére et de petits coups de langue rapides viennent titiller ce petit bouton. Elle pompe avec avidité la bonne queue offerte à elle, pendant que l'autre garçon regarde la scène, masturbant doucement son propre sexe gonflé. Le lécheur déguste avec délectation la mouille abondante de la vulve trempée. Il s'interrompt, enfile un préservatif, prend les jambes de Thipanie et les écarte en l'air approchant sa bite de la fente désirante. Les deux autres queues sont désormais de chaque côté d'elle, elle les branle simultanément, regardant vers son sexe, l'engin près à l'investir. Il la pénétre doucement, elle lâche un grand "Anhh" de satisfaction. Elle prend en bouche la nouvelle bite, pendant que sa main continue de branler l'autre. A répétition, les cuisses du chanceux viennent claquer contre les siennes, la verge s'engouffrant dans la grotte embrasée. Elle gémit sans pouvoir se retenir, un barreau dans la bouche. Dans le hangar, des conteneurs disposés contre les murs, atténuent la résonance de ses cris. 

L'explorateur laisse sa place à un autre des garçons, qui aide Tiphanie à se positionner en levrette au bord du matelas. L'autre ayant gardé le préservatif, s'approche de la bouche. Elle merut d'envie de le sucer, prête à nettoyer sa propre mouille tiède. Son excitation redouble, cette position à quatre patte l'excite toujours beaucoup. Souvent pendant ses séances de masturbation solitaire, elle se positionne ainsi sur le lit, la main passant en dessous et triturant activement le clitoris rose de désir. Lorsque la queue s'approche de la petite chatte et entreprend de l'investir, c'est la délivrance pour elle et les gémissements reprennent. Sa bouche lâche la bite devenue propre, elle ne peut retenir sa jouissance sonore. 

"Oh c'est bon ! Oh ça vient ! Oh ouiii, continue ne t'arrête pas !". 

L'homme accélére la cadence et la pénétration devient plus profonde. Elle jouit  bruyamment. Celui qui n'a pas encore goûté la petite chatte s'assoit sur le bord du lit improvisé, elle souffle quelques secondes et vient s'asseoir sur sa queue. Pas très stable, il s'allonge, elle vient au dessus de lui et s'empale littéralement sur le baton dressé et brillant de mouille. Les deux complices contemplent cette scène sublime, cette femme en plein plaisir. La main de la cochonne descend bien vite sur son clitoris, mêlant la masturbation à la pénétration. A chaque descente sur la verge, elle lâche un souffle "Ahh", par moment sa main accélére le mouvement sur le petit organe et les gémissement s'intensifient de plus belle "Ahaahaah".   


Elle s'interrompt alors, réclamant une nouvelle levrette

 "Prends moi à quatre pattes, j'adore être prise comme ça". 

- "Une vraie petite cochonne" disent les 3 garçons en souriant, mais déjà elle est à quatre pattes, la main fixée sur le clitoris ne lâchant pas son mouvement de rotation. La queue ne tarde pas à venir la pénétrer et les gémissements avec. Elle réclame désormais du sexe d'homme : 

"Prends moi plus fort" ; "défonce-moi" ; "fait-moi jouir encore" ...  

Les trois n'en reviennent pas, elle se libére complètement. Elle ne s'oppose pas, lorsque le cavalier s'arrête et descend son visage entre ses jolies fesses qu'il avait écartées régulièrement pendant la levrette. Il vient léchouiller le petit trou, elle reprend les bites en bouches. Elle leur a pourtant expliqué ne pas trop aimer la sodomie. Là elle cambre même les reins, pour qu'il puisse passer sa langue partout, jusque dans le creux de l'anus. L'excitation est plus forte. Lorsqu'il sent que le passage se relâche doucement, il introduit son doigt pour quelques vas et viens. Saisissant du gel lubrifiant, il le chauffe entre ses doigts et lui applique doucement. La caresse étant agréable, elle recommence à se caresser et à souffler de plaisir.

Les doigts entrent désormais à plusieurs dans le petit trou serré, elle n'a pas mal. Lorsque la queue pénétre, elle ressent une légère douleur et très vite, l'excitation et le plaisir de ce cul insondé. Elle demande à changer de position et vient s'empaler le cul sur la queue d'un des garçon assis sur le lit, ainsi elle peut contrôler la vitesse de pénétration dans son petit trou. Pendant qu'elle suce le deuxième, le troisième s'approche des corps en mouvement et entreprend d'entrer dans la petite chatte, en même temps que son pote lui prend le cul. Avec un peu de difficulté il y parvient, elle se retrouve alors avec deux bites en mouvement, l'une contre l'autre dans son corps. Elle apprécie la sensation de plénitude, terminée par une troisième queue dans sa bouche. Elle jouit encore de ces trois hommes qui la comblent. Le premier mâle jute dans son cul, dans sa capote. Le second se retire de son sexe et a le temps de retirer le préservatif pour éjaculer sur son ventre et les petits poils conservés sur son pubis. Le dernier jouit dans sa bouche et sur son visage. Elle goute avec délectation ce nectar masculin, symbole de désir ardent pour sa féminité. 

Il la laissent se rafraichir un peu le visage. Ils n'échangent pas longtemps mais se quittent satisfaits. Sur le chemin du retour, elle ne peut s'empêcher de se caresser à travers son string encore humide et souillé. Lorsqu'elle arrive chez elle, elle se jette sur le canapé, retrousse sa robe grise, écarte le string et se doigte vigoureusement, profitant même des résidus de lubrifiant pour exciter son petit trou. Pour la troisième fois de la journée, elle jouit comme une folle. Ses deux doigts rentrent et sortent de sa chatte qui n'en finit pas de réclamer qu'on s'occupe d'elle. Le soir, son homme la retrouve très excitée. Elle le suce longuement et lui permet de jouir d'elle en levrette, son sperme dégoulinant de sa petite chatte, sans savoir que sa cochonne de femme en a déjà fait jouir trois autres comme lui, quelques heures auparavant.

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