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Enceinte et plus femme que jamais (1)


Clarisse est mariée avec Marc depuis 2 ans. Enceinte de quatre mois, son petit ventre rond l'encombre un petit peu. Marc est souvent absent ces derniers temps, très occupé par son travail dans une grande entreprise. Or, Clarisse est très embêtée. Sa grossesse a considérablement augmentée sa libido et elle ne sait pas s'il existe des contre-indications à pratiquer le sexe en période de gestation. 

De peur de passer pour une idiote ou une obsédée, elle n'a pas osé poser la question à son gynécologue. Un matin alors qu'elle surfe sur internet, elle décide d'effectuer une recherche pour obtenir des informations. La réponse ne tarde pas à venir, aucun risque à conserver une sexualité active pendant la grossesse. Le soulagement provoque chez elle, une forte envie.

La jeune femme, se fait couler un bain chaud et se glisse dans l'eau. Elle allume le poste de radio qui se trouve non loin de la baignoire, et commence à somnoler dans l'eau qui recouvre la majeur partie de son corps, sauf son ventre qui dépasse comme une colline entouré d'un lac. Naturellement, sa main vient toucher son ventre, sa peau se tend sous l'effet des attouchements, elle remonte et commence à toucher ses seins gonflés. Les tétons durcissent et son sexe se détend. Elle redescend, écarte ses cuisses, et entre ouvre ses lèvres avec ses doigts. Elle fouille sa vulve et trouve son clitoris, qui se gonfle au passage de ses doigts.

Encore hésitante, l'excitation la convainc de poursuivre, elle commence à se caresser doucement. Elle effectue de petits cercles autour de son clitoris, avec des gestes plus appuyés par moments. Sa respiration s'accélère. Poursuivant les attouchements sur son petit organe, elle introduit un puis deux doigts dans son vagin et commence un va et vient. Puis stoppant son activité, elle se relève et attrape la pomme de douche qu'elle allume, elle règle la pression de manière à obtenir un jet moins puissant et place l'objet en direction de sa vulve. La réaction ne se fait pas attendre, elle commence à gémir. Elle rapproche son autre main, dont les doigts recommencent leurs mouvements dans son intimité. Son plaisir augmente à mesure que l'eau coule contre sa chatte trempée, pour plus de sensations elle augmente la pression du jet. Ses gémissement raisonnent dans la salle de bain et dans un spasme de plaisir, elle jouit pour la première fois depuis plusieures semaines. Mais son envie n'est pas encore totalement assouvie.

Sortie de sa douche, séchée et en peignoir. Elle va dans sa chambre et prend un préservatif dans un tiroir, elle retourne dans la salle de bain et saisit l'une de ses brosses à cheveux dont le manche a une taille proéminente. Elle ouvre la capote et la passe sur le manche. Elle ferme le battant des toilettes, et s’assoit dessus, elle ouvre son peignoir et glisse sa main dans sa toison pubienne, elle écarte à nouveau les lèvres et masturbe son clitoris. Quant sa chatte est suffisamment lubrifiée, elle attrape la brosse et l'approche de son vagin, elle l'introduit en elle et commence à se pénétrer. Son excitation est tellement forte et sa chatte tellement mouillée que la stimulation n'est pas assez grande.

Tout à coup, elle entend son mari qui ouvre le garage, elle se relève, ferme son peignoir et se conduit dans le salon. Son mari, à peine entré qu'elle lui saute dessus, assise sur un fauteuil, le peignoir ouvert, Marc broute la vulve de Clarisse. Il déguste littéralement son fruit, qui jute de nectar vaginal. Elle ne peut s'empêcher de gémir. N'y tenant plus, elle s'exprime ouvertement, « Marc, prend moi ! », le jeune homme trop excité par la requête de sa femme pour réfléchir, lui demande de se mettre à 4 pattes sur la petit table du salon des coussins sous les genoux dans une position relativement confortable dans sa situation. Il approche alors sa grosse queue de la chatte de Clarisse et la pénètre assez rapidement, elle pousse un cris de plaisir. Il commence un va et vient, la main de Clothilde vient à la rencontre de son clitoris. Alors qu'il lui ramone littéralement la chatte, le téléphone sonne, mais sa femme lui intime l'ordre de continuer à l'entreprendre. Plus femme que jamais, Clothilde jouit à plein la maison, et tant-pis pour les voisins, c'est trop bon d'être une femme.

Le lendemain, alors que son mari est de nouveau absent, l'envie de la jeune femme est toujours aussi forte. Réfléchissant à de nouveaux moyens de se contenter, elle surfe sur internet et tombe sur un site de vente en ligne d'objets sexuels. Faisant défiler les pages sous ses yeux, elle remarque plusieurs objets qui attirent son attention. Un gode à ventouse de taille moyenne lui plaît bien, mais elle opte également pour un plus petit. Quelques jours plus tard, un colis neutre est livrée chez elle. Alors qu'elle signe le bon de livraison, elle sent son sexe s'humidifier. A peine a-t-elle refermée la porte qu'elle se dirige au salon en commence à déballer le paquet. Elle en sort les deux objets.

Très excitée, Clothilde passe la main à l'intérieur de son jogging moulant et passe le doigt entre ses lèvres, elle le retire trempé et le porte à sa bouche, le goût de son sexe l'enivre de désir. Elle a besoin de s'aimer. Sa main retourne dans son pantalon et retrouve le chemin de sa chatte, qu'elle caresse en tout points. Remontant le long de ses lèvres et humidifiant ses doigts, elle rencontre le clitoris qui se durcit et réclame les caresses. Folle d'envie, son autre main redescend vers une zone encore non explorée, mouillant ses doigts, elle commence à tourner autour de son petit orifice serré. Elle insère un doigt et se décide à aller plus loin dans la découverte de ce nouveau plaisir. Elle attrape le plus petit des godes et commence à le sucer, alors que son doigt continuer de fouiller dans son cul. Son petit trou est tout dilaté, elle approche alors le jouet et commence à se goder. Cette stimulation accélère sa respiration, elle aime ça, mais son corps en veut plus, sa chatte a besoin d'entre remplie. Elle se lève, le petit gode toujours en elle, elle saisit le gode ventouse qu'elle place au sol. Elle s’accroupit au dessus et se laisser glisser, elle pousse un gémissement de plaisir. Elle va et vient sur l'objet en gémissant son plaisir, puis continuant son mouvement l'une de ses mains libres vient attraper le petit gode toujours dans son cul et le fait lentement glisser d'avant en arrière. Ses gémissements se transforment en cris de jouissance. N'ayant jamais vécu cela, elle vient en éjaculant quelques jets de cyprine sur le sol.

Initiée au plaisir anal, Clarisse attend impatiemment le retour de son mari. Lorsque Marc rentre le lendemain, il trouve sa femme dans la cuisine faisant la vaisselle. Elle porte un chemisier qui lui arrive au niveau des hanche et un petit string blanc. Cette vision l'excite fortement, il s'approche d'elle par derrière et commence à lui toucher les seins. La future maman se laisse faire,elle sent le long de ses fesses, la queue déjà dure de son homme, ce qui fait monter la chaleur en elle. Elle ne s'est pas masturbée depuis la veille et ses grosses envies ne sont pas assouvies. Toujours penchée contre l'évier, Marc descend le long du dos de son épouse et colle son visage à ses fesses, la vision de cette croupe tout velue le fait bander intensément, il commence à la manger, insérant de tant à autre sa langue à l'intérieur du vagin, puis revenant insister sur son clitoris. Clothilde qui ne l'attendait pas si tôt, gémit sous l'hommage. Marc n'y tenant plus défait son jean, saisit son pénis, et la pénètre jusqu'à la garde, le vagin de Clarisse est rempli. Soudain, au grand étonnement du jeune homme, sa femme insère sous doigt dans sa bouche, l'humidifie et commence à se doigter l'anus. Il accélère sa pénétration et les gémissements augmentent d'intensité. Dans un mouvement de désir, il ressort de la chatte trempée et approche son sexe du petit trou qui s'ouvre devant lui. Il n'a pas de mal à s'insérer, et commence doucement son va et vient. Alors qu'il sent sa partenaire très excitée, elle lui demande crûment de « la défoncer », il s'engage alors dans un marathon anal, enculant littéralement Clarisse, qui se cambre de plus en plus et écarte ses fesses avec ses mains, pour mieux sentir son homme la pénétrer.

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